
Je m’arrête devant la mère de douleur à Schweighouse, là où la municipalité a mis ses containers à verres.
Occasionnellement l’endroit sert aussi aux cyclistes venant de Mulhouse pour soulager les vessies impatientes.
Mais si l’on fait abstraction de ces nécessités terrestres, le calvaire est de belle facture et il en a vu d’autre.


Bon je repars.
Comme je ne veux pas retirer les gants trop durs à remettre, je photographie Aspach avec la langue…

En fait une fois à la maison je découvre qu’avec un iphone, on peut déclencher la photo avec les touches plus/moins du haut-parleur.
