
C’est un croquis de la Poste de Thann. Aujourd’hui, j’ai eu la flemme de sortir, le thermomètre n’a pas dépassé un degré.
Son chapiteau en forme de clocher m’interroge. Mais il est vrai qu’en Alsace on trouve aussi des mairies avec des clochetons.
Mon autre dada

C’est un croquis de la Poste de Thann. Aujourd’hui, j’ai eu la flemme de sortir, le thermomètre n’a pas dépassé un degré.
Son chapiteau en forme de clocher m’interroge. Mais il est vrai qu’en Alsace on trouve aussi des mairies avec des clochetons.

Mon maître dirait « c’est gouaché », autrement dit c’est foutu pour une aquarelle.
Bon je la mets quand même sur mon blog car c’est la rue du Panorama à Thann où j’ai fait mon jogging ce matin, juste après la petite chapelle.
Une petite vigne jeune devant la maison et des paquets de nuages chargés.

J’ai voulu me lancer dans un grand format que je ne maîtrise pas.
Sur la base d’un tuto sur le net, j’ai essayé ce bord de mer des pays chauds. Et à la fin, j’ai tout raté. Mais comme je n’aime pas gâcher le papier, alors j’ai bricolé à ma façon.



On ne s’interdit pas de peindre des usines.
Après tout, il faut vivre avec, elle est pourvoyeuse d’emplois rares. Alors gardons-la!
On y produit de l’oxyde de titane qui sert à un tas de trucs et c’est un site Seveso. Ceci étant dit, l’usine obéit à des critères techniques et son agencement, son architecture en dépend.
Parfois, ses bâtiments sont porteurs d’une histoire, celle de l’évolution de sa technologie.
Ici c’est le coté rue, le plus avenant pourrait-on dire. J’imagine qu’il y a de l’administration, des cols blancs donnant sur le boulevard.
Derrière, c’est le nerf de la guerre avec ses tuyaux rugissants. Je m’y attaquerai un jour.
Peut-on parler d’insertion paysagère réussie avec ce fond de vignoble? chacun jugera.
Je vous ai fait grâce des voitures des employés qui sont garées devant. Le soir j’assiste souvent aux ballets vers 21h des ouvriers qui partent et de ceux qui arrivent pour la nuit.

Le petit mini de droite en haut s’est mis de travers. C’est un facétieux.



Les reprises en mini-formats 10 x15 sont un bon exercice car l’attention se focalise sur une petite surface. Cela facilite un travail global sur les tonalités, l’harmonie des couleurs et un travail presque intégral dans l’eau.

Le mini format 10×15, une opportunité pour ses vœux de fin d’année




































Toutes ces aquarelles sont uniques et peintes de ma main.
Format 24×32 sur papier 300gr/m2
A retirer sur place à Thann ou envoi postal
Me consulter sur disponibilité avant achat pour réserver le produit choisi
Paiement chèque ou Paypal

Aquarelle format 24×32 de vélomaxou
peinture véritable et unique de la main du peintre
15.00 €
| Tarif pour une aquarelle au choix (frais de port ajouter 3 euros) | 15 euros |
| Tarif pour trois aquarelles au choix (frais de port ajouter 3 euros) | 30 euros |

Si vous me connaissez, vous savez que je bombarde à tout-va avec mon appareil photo sans descendre de mon vélo. Alors une fois rentré à la maison, je revisite mon parcours.
En Bretagne j’ai longé la côte, roulé le long de la plage à marée basse.
Les villages apparaissent sous un autre angle de vue que du coté rue. Et parfois je m’arrête, pour mieux cadrer.

Peindre, c’est essayer un second coup de cœur. Souvent maladroit, à la réussite incertaine.
Mais je passe le temps comme je peux, effrayé par les nouvelles peu rassurantes…et les rancœurs qui montent, de toutes parts.

Une aquarelle de Saint-Malo transformée en acrylique.
A ranger dans les « bof ». Disons que ça passe le temps.

Les moulins bretons ont la particularité d’avoir perdu leurs ailes. C’est dommage.
A Hirel, je suis parti du moulin pour rejoindre Cancale, puis je suis rentré par l’intérieur des terres.

Je n’étais pas très fier de mon coup. Après avoir longé la plage sur mon VTT depuis Saint-Benoît-des-Ondes, je me retrouve devant un mur de rochers doublés d’un bois épais.
Je commence à escalader les roches en portant mon vélo sous les yeux de l’habitante du pavillon mauve baigné dans la lumière matinale…
Plus je m’approchais, plus je constatais que j’allais aboutir devant un portail clos…
Heureusement, un joggeuse débouche du bois et me montre un sentier étroit qui contourne l’obstacle.
Me voici dans les rues de Cancale où à ma grande surprise il faut porter le masque. Je m’en confectionne un à l’aide d’un mouchoir en papier, juste le temps de traverser le port.

C’est une vieille aquarelle format 40×30 de 2019 qui était ratée. Je l’ai transformée en acrylique, ratée aussi.
L’essentiel c’est d’essayer. Disons que ça fait un genre.
J’ai besoin encore d’apprendre le couteau. Mon emploi du temps du deuxième confinement à venir est tout trouvé.

On croirait qu’ils sont là pour la déco. Amarrés devant tous les autres et fraîchement ripolinés. A Paimpol, on doit porter le masque en attendant que les plaisanciers passent l’écluse et que la passerelle nous permettent le passage.

Eglise Saint-Dominique
Je passe là. Entre le parking de l’école et les boulistes. Sentier sympa. Petits agrès fermés pour cause …Covid.
Vestiges des 12-13eme siècles Nef : fin 14eme Choeur : 15eme Tour : 1511Jubé : 1516 Restauration importante en 1769

C’est vrai qu’en 24×32, c’est relax Max. J’ai été bien inspiré de faire mon vélo hier car aujourd’hui s’annonce moins beau.
Michelbach, je ne m’en lasse pas. C’est à portée de main et les angles de vue sont affriolants. Alors ne nous en privons pas.

Avant de sortir du bois, je m’arrête. Comme un chat qui hésite à se lancer sous la pluie. J’admire le paysage, les près, les bois, les animaux rassemblés et imperturbables.
Puis je pars.

C’était en août dernier. Nos amis suisses organisaient une randonnée à VTT du coté du lac de Joux dans le Jura (suisse). Les chemins permettaient de s’ébattre à merveille. Quels veinards, ces Suisses!
Un bon souvenir.

Colmar 2007 relooké 2020…

Une seconde jeunesse pour cette aquarelle de 2007 que je viens de bricoler pour la rendre acceptable.


La mousse envahit la toiture. Personne ne semble plus entretenir cet abri. La mousse est jolie, elle ne me dérange pas.
Je n’arrive pas à trouver l’origine de Diebold-Scherrer. Curieusement, le guide des Vosges du CV édition 1981 écrit Schérer…et non pas Scherrer

Impossible de mettre le nez dehors sans imperméable.
Il a plu toute la journée. Alors je me suis plu à peindre des fleurs. Chose rare car je ne comprends rien à la technique florale. C’est un vrai métier.

A vélo en quittant Reiningue, prendre à gauche après le château d’eau et on passe devant l’abbaye. C’est beaucoup mieux que la départementale.
Ce matin pluie soutenue. Temps automnal normal. Les ruisseaux vont pouvoir reprendre leur cours.
Alors je croque en écoutant Paul Ardenne à Musique Matin. on y écoute les bruits de la nature. Ceux des bouleaux, des maïs,…Il s’agit de musique écologique. Étonnant, je peins justement des maïs devant l’abbaye. Les miens ne font pas de bruit.

Je suis passé par là le 10 septembre dernier. C’est une contrée dont je ne me lasse pas tellement c’est beau. J’ai l’habitude de dire que le paysage semble « construit » tellement il est entretenu, les constructions en harmonie avec la nature. Nul doute que les habitants adorent aussi leur terroir.
On passe à gauche de la chapelle et on grimpe à Käsacker.

J’ai toujours du mal dans l’abstraction. Je cherche des points d’ancrage pour ne pas sombrer dans le vertige.
L’essentiel, c’est d’essayer. J’ai beaucoup de respect pour les peintres abstraits car leur art pictural me semble inaccessible.

J’avais décidé de me mettre au VTT. La forêt de la Hardt était mon terrain de jeu. Je m’accordais toujours une pause devant ce château de Hombourg. Aujourd’hui il héberge autour de lui un grand terrain de golf.

C’est le château le plus visité d’Alsace. C’est le modèle Guillaume II qui a succédé à tous les précédents depuis Charlemagne.
Je n’ai pas envie d’y aller. Le voir depuis la plaine me suffit.