C’est, dit-on, le mal nécessaire.
Pour la Direction des Routes, ce sont les barrières de dégel qui
vont interrompre la circulation des plus de 7 tonnes 500 sur les
départementales.
En principe, ces barrières « virtuelles » ne suffisent pas à
ruiner nos chaussées les plus fragiles.
Un kilomètre de départementale ruinée, c’est 300.000 euros de
travaux de réfection!…
En dépit de ce mal nécessaire que sont les barrières de dégel,
les cyclistes vont donc être encore parmi les premières victimes à
rencontrer ces fameux trous occasionnés au réseau secondaire par
les poids lourds.
Des trous qui vont mettre des semaines, voire des mois à être
rebouchés.




