Cet après-midi, j’ai tenté le coup malgré le temps incertain.
J’ai commencé par longer le massif et je me suis offert le raidillon de Rammersmatt depuis Roderen.
Une fois le plus difficile fait, j’étais en confiance. A Bourbach, j’ai pris Sentheim et rejoint la vallée du Soultzbach. A Mortzwiller, je me suis laissé couler jusqu’à Balschwiller.
Balschwiller et son beau lavoir remis à neuf. Trente planches! Il ne manque que les lavandières…