
Ce matin après mes digressions pandémiques, j’ai pris la route.
A pinces.
Je suis comme un chien fou qui part dans tous les sens dès qu’on le lâche. C’est sûrement le confinement qui me tourne la tête.

Dans la côte de Leimbach, je suis pris dans les rafales du Blosen. Je zigzague en montant le chemin dans les ornières, je souffle, je rétrograde,…
bref « je décompense sec » en perdant tous mes paramètres, le cardio, le rythme, le souffle, la vitesse, je suis tout de guingois. Un peu comme ces cyclistes désemparés dans la montée du col.


Je me rétablis dans la descente. Puis je remonte la rue des Vergers et je repars dans l’autre sens. Au km 4 en bas de Leimbach, il faut que j’assure car je ne suis qu’à mi-parcours. Je vais traîner dans les rues de Vieux-Thann, la place Fellmann et je traverse le square tout proche.
J’aborde l’avenue de Gubbio au km 7. Je suis sauf.
Ouf! c’était difficile aujourd’hui. J’arrive à 58 minutes at Home et lessivé. L’âge certainement? 244 km depuis que je me suis mis au jogging. Pour moi, ce n’est jamais facile ce truc où il faut porter son poids; ça me fait 8000 pas et j’ai les genoux qui jouent les castagnettes. 74.5kg sur la balance ce matin. En avril j’ai l’impression d’avoir atteint un plancher de verre au niveau du poids. Impossible de passer sous les 74 kg! J’ai réduit la ration journalière de 200 kcal mais j’ai faim tout le temps. Alors je bois en attendant…


Oui, je suis un chien fou en ce 1er mai. Vous l’aurez compris.
« Tout de guingois » ! … il te faut faire du gainage : cf le programme de renforcement musculaire de « Vélomaison » !!!!
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oui j’ai vu que tu en fais la pub à LRV. Bon 1er mai!
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Bravo Don Quichiotte !
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