
J’ai été tangent avec les limites et l’heure.
S’habiller en cycliste pour aussi peu de temps et jouer du chrono, ce n’est pas aisé.
Le monde des loisirs impacté par la pandémie

Le monde des loisirs, c’est aussi un monde économique. Il est à l’arrêt. Les salles de fitness, mais pas que! tous les sports co. en salle et les sports de plein air, la rando, le vélo, la pêche à la ligne, la pétanque,… et les commerces de vêtements, d’équipements et de matériels. La dépense sportive, c’est un point du PIB avec 19 milliards d’euros.
A vélo, les tours confinés sont une gageure dès lors qu’on respecte la règle du jeu confinement. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on pétitionne pour pouvoir sortir de cette limite du 1km. Je ne parle que du VTT, car avec un vélo de route c’est encore plus délicat si on habite en centre-ville.
Avec le VTT, on trouve souvent une friche industrielle, un bike-park qui feront l’affaire.

Aujourd’hui j’ai expérimenté un nouveau chemin herbeux entre le km 3 et le km 4 à Leimbach. Amusant je longe mes pointillés.
On devient fou avec cette barrière virtuelle.
Derrière chez moi, c’est blindé de monde; j’ai même rencontré un groupe d’ados avec le prof. Peut-être des sciences naturelles? Mais pas de doute, le confinement fait sortir des gens qu’on ne voit pas d’habitude, alors je m’interroge, les promeneurs sont-ils de nouveaux adeptes de la marche? le virus susciterait-il un besoin de nature?