Emporté, c’est plié!
C’est Pacific Cycles qui le commercialise.
Encore un vélo pliant. Mais celui-ci posséde une esthétique
agréable et il semble assez rigide et racé pour intéresser les
adeptes de randonnées.
Emporté, c’est plié!
C’est Pacific Cycles qui le commercialise.
Encore un vélo pliant. Mais celui-ci posséde une esthétique
agréable et il semble assez rigide et racé pour intéresser les
adeptes de randonnées.
C’est le moment de se réassurer pour la saison 2010.
La FFCT inaugure une nouvelle formule d’assurance ou de licence,
« le petit braquet+ ».
Le « petit braquet+ » vient s’insérer entre le « petit braquet » et
« le grand braquet ».
Quelles différences?
Avec le « petit braquet+ », vous bénéficiez de garanties
supplémentaires en cas d’invalidité et de décès accidentel.
En revanche, vous ne bénéficiez d’aucune indemnisation pour les
dégâts occasionnés à votre vélo et à vos vêtements toujours
garantis par la formule « grand braquet ».
Coût des formules:
– petit braquet: 12.70€
– petit braquet+: 22€
– grand braquet: 55€
A vous de choisir!
Elles étaient célèbres dans les années 70, les bicyclettes Alex
Singer.
Aux cotés des cycles Routens, René Herse, Bianchi, Motobécane et
autres, les cycles Singer constituaient le haut de gamme du cycle
sur mesure pour les cyclotouristes d’alors.
Les publicités Singer dans la revue Cyclotourisme ne manquaient
pas à l’époque de faire saliver ceux qui rêvaient d’avoir une belle
bicyclette.
Son concepteur Ernest Csuka n’est plus.
Ses obsèques seront célébrées le 28 décembre à
Levallois-Perret.
On commençait à voir la rouille apparaître sur nos guiboles.
Heureusement, une éclaircie s’est présentée aujourd’hui.
Il ne fallait pas la rater.
Juste le temps de s’assurer qu’on savait encore « faire du vélo »
avant la nouvelle année.
On l’a déjà dit: le vélo devient vite une addiction dès lors
qu’on le pratique régulièrement.
C’est pourquoi les arrêts prolongés nous placent en état de
manque.
Après la pause collation dans l’un de nos ports d’attache
favoris, nous voici ragaillardis.
Vivement la prochaine sortie!
Scrogneugneu! la loi, c’est la loi!
Le problème, c’est qu’à Agen,
les services de police veulent faire descendre les cyclistes de
leurs vélos dans la rue piètonne.
Ce que n’entend pas de cette oreille la FuBicy
locale…règlement à l’appui
Cette affaire préfigure assez bien ce qui nous attend, nous les
cyclistes, dans le futur; à savoir que d’horribles méchants
services d’ordre vont prétendre nous imposer le code de la route
comme les stop et les feux rouges combien même il n’y aurait plus
de voitures en circulation.
Car, entre nous, à quoi sert un stop ou un feu rouge à partir du
moment oû il n’existera plus en ville que des moyens de transports
« doux » comme la marche à pied ou à vélo?
Allons-nous devoir inventer un code des vélos autre que la
priorité à droite pour se croiser en ville à vélos?
Je vous le demande…
On rêve!
Le vélo ne serait donc qu’un prétexte. Un prétexte à rire. A
rire de tout et de rien.
C’est vraisemblable.
Car le vélo est une chose simple qui n’implique pas d’autre
exigence que celle de pédaler. Par tous temps, si l’on veut.
Aujourd’hui, malgré un thermomètre désespérement nul, on se
mettra donc en route pour Thann. A peine 25 km le long de la Thur
et autant pour revenir.
Est-ce une plaisanterie de devoir réparer une crevaison alors
qu’on se concentre à éviter les vents coulis froids venus du
nord?
Prenons le bien!
Avec notre bonne humeur coutumière et tout rentrera dans
l’ordre.
Juste le temps d’admirer le massif qui se pare de blancheur sur
le Vieil Armand et la Thur qui tressaute.
La collégiale Saint-Thiébaut à Thann mériterait plus le coup
d’oeil pour son tympan principal du XVième siècle que ces maigres
cabanons de Noël qui n’attirent pas foule vu la froidure.
Les cigognes de Cernay cherchent-elles à prendre un bain de
pieds?
On ne le sait pas.
Couverts de pieds en capes avant de rejoindre Mulhouse,
risquons-nous d’être pris pour un gang de malfaiteurs ainsi
revêtus?
Oui, sans doute!
Personne cependant ne pensera à nous arrêter. Pour cette
fois.
Une franche rigolade le vélo, on vous dit.
En ville, les vélos sont devenus plus rapides que les voitures
et même les transports en commun.
A Strasbourg, en tous cas!
C’est ce que révèle le journal « l’Alsace » ce matin.
Schiltigheim-Strasbourg en 58 minutes pour les vélos, 1h10 pour
les bus et 1h49 pour les voitures!
Ce résultat surprenant est évident lié aux difficultés de
circulation urbaine et au temps passé à trouver où garer sa
voiture…
Bref, près de deux heures pour faire 10 bornes en voiture, mieux
vaut encore aller à pied!
Et en plus à vélo ou à pied, c’est bon pour le coeur!
Avec 13°C un 10 décembre, rien ne peut nous dissuader de
rouler.
La piste de Grünhutte a été balayée.
On peut donc rouler à deux de front et converser entre
bavards.
Au loin, les nimbus s’accrochent au Blauen et le funambule du
Cirque reste imperturbable sur son fil.
Les panneaux font causer.
L’idéal, pour nous cyclistes, serait de n’avoir affaire qu’à ce
joli petit panneau vert nommé Dv11 que l’on trouve pour indiquer
les itinéraires cyclables.
Dans la continuité de mon article « Bon à savoir« , voila que les discussions s’enflamment
à propos des interdictions de circuler aux
vélos.
Une occasion de réviser.
D’abord le panneau B0: interdiction de rouler dans les deux sens
aux véhicules motorisés. C’est un panneau d’interdiction enfreint
par de nombreux automobilistes.
Ensuite le panneau B1: interdit dans ce sens à tout véhicule y
compris les cycles…certaines municipalités commencent à autoriser
les vélos à passer comme dans certaines artères de Mulhouse.
Et puis il y a le fameux panneau B9b directement consacré aux
cyclistes…
…et dont la signification est sans
ambiguïté. C’est celui qu’on trouve notamment au rond-point de
Kingersheim en direction de Baldersheim.
D’autres panneaux sont moins évidents comme celui là, c’est le
C107

Les vélos n’ont pas le droit d’emprunter ces itinéraires.
On le trouve généralement aux entrées des voies express et il
est parfois couplé avec le B9b pour être bien explicite.
Enfin un panneau qui ne soulève pas en principe de discussion et
qui interdit aux vélos de prendre la route, c’est le C207…sauf si
vous empruntez cet itinéraire malgré tout après avoir abusé de la
Vodka!
C’est celui des entrées d’autoroute

Pour plus de précisions sur les panneaux, on peut se référer au
site de la Prévention Routière.
Beaucoup parmi nous adhèrent à un club cycliste pour participer
à la vie collective de l’organisation, ses sorties, ses projets,
voire pour prendre des responsabilités militantes.
On adhère aussi pour la licence qui comprend une assurance
obligatoire et les cotisations du club.
Mais sans licence, sommes-nous assurés?
Oui, si vous disposez d’une assurance multirisque
habitation.
La plupart du temps, cette assurance multirisque vous prémunit
contre les dommages que vous pourriez occasionner aux tiers du fait
de la pratique de votre sport amateur: c’est l’assurance
responsabilité civile.
Sauf, sauf….si vous pratiquez en tant que membre d’un
club (art. 37 de la loi n°84.610 du 16.7.1984).
En conclusion, si vous causez un accident et des dommages dans
le cadre d’une sortie individuelle non encadrée par un club, votre
assurance multirisque vous couvre. Dans le cas contraire, non!
C’est la question que se pose tous les experts du marketing
mulhousien: comment faire revenir les clients en ville plutôt que
dans les commerces de la périphérie?
Vélomaxou croit posséder une partie de la réponse. Il suffit
pour cela de faciliter l’usage du vélo en ville.
Cette « cyclote » l’a bien compris.
On le savait déjà que l’abus de vin chaud est préjudiciable au
vélo…et aux cyclistes.
Ceux
là ont quand même essayé…
C’est un blog vélo pour les filles nous dit-on…J’en
doute!
Enfin, il n’est pas interdit aux garçons d’y jeter un oeil.
Pourquoi pas?
Ici Liz Hatch, cycliste pro, en pleine concentration.

Copenhague – Des vélos, des vélos et encore des vélos
Pourquoi Vélomaxou n’emboiterait-il pas le pas de ceux qui
choisissent de révolutionner nos modes de vie en Europe à cause de
l’effet de serre?
Béatement!
Puisque le projet qu’on va nous proposer, schématiquement, c’est
une forme de croissance à l’envers.
Mais une croissance à l’envers, c’est quoi, au fait?
Une décroissance? un retrait du pain de la bouche?
Une « génération vélo »?
On reste dans l’expectative…
Tous les Etats riches de la planète vont choisir avec l’appui
d’un groupe de scientifiques (le GIEC) de remettre en cause notre
modèle économique et social aujourd’hui à Copenhague. Au nom de la
sauvegarde de la planète. En amputant au besoin des pans entiers de
nos entreprises, de nos acquis, les maigres moyens des plus démunis
tout en préservant les plus riches.
Vaste programme!
Pourtant des voix s’élèvent pour dire que le réchauffement de la
planète n’est ni le premier ni imputable totalement au CO2 mais
plutôt au soleil et qu’il y a mille ans, on cultivait déjà de la
vigne à Lille ou à Londres…
On pourra notamment se référer aux thèses du
physicien Vincent Courtillot.
Méfions-nous donc des « sommets-symboles » comme Copenhague,
capitale du vélo, au nom desquels les Etats riches vont faire du
bruit pendant toute la semaine.
Au passage, un blog
sympathique du cyclo Guillaume Dimanche, artiste plasticien,
qui a parcouru Paris-Copenhague à vélo pour la circonstance et qui
arrive en principe aujourd’hui à Copenhague.
On ne peut que rester circonspect devant le succès des marchés
de Noël et leur attractivité qui déplacent des visiteurs parfois de
loin.
Car après tout, cette féérie de Noël mise à la sauce commerciale
laisse toujours une arrière-pensée où le mercantilisme prend le pas
sur la fête.
Bon, ne chipotons!
Au moins, Vélomaxou et ses amis se sont payés une sortie
cycliste et n’ont pas boudé leur plaisir en s’offrant quelques
friandises et du vin chaud à la canelle tout en déambulant parmi
les échoppes.
Ils étaient plus nombreux à l’origine, parait-il…Mais à
Colmar, ils sont venus à trois.
Les Rois mages Gaspard, Melchior et Balthazar ont eu beaucoup de
succès.
Pas de fête sans musique!
Et pas de musique sans musiciens!
En écho à mon article l’avenir
du cyclo-camping du 1er juin 2008, une lectrice nous écrit:
Bonjour,
disposant de beaucoup de temps l’année prochaine et mordue
d’itinérance à vélo, je veux me lancer dans le vélo-camping.
Je voudrais profiter de votre expérience dans ce domaine, et aussi
trouver un(e) co equipier(e) pour des parcours en France et en
Allemagne.
Merci de me tenir informée.
Cordialement,
Beatrice
C’est un beau projet en perspective sans aucun doute.
Nos lecteurs intéressés peuvent se signaler à Béatrice et lui
donner des conseils utiles.
Heu….comment le dire?…
Oui, c’est bien du sport que nous faisons. Un exercice
hygièniste pour « garder la forme », comme on dit.
En tous cas, ce n’est pas une partie de plaisir par ces temps
dégradés.
Aujourd’hui encore, il faisait moche et on devait se forcer à
enfourcher nos bécanes.
Rien ne pouvait nous distraire sur cet itinéraire qui nous mène
à Guebwiller avant de grimper le Bannstein.
Sous casques vissés sur les oreilles, engoncés dans nos couches,
il n’était pas simple de deviser. Alors, on se tait dans les rangs.
Et on pédale. Comme des bûcherons haletants.
On ne peut même pas entendre un dérailleur mal calé;
l’essentiel, c’est d’avaler la route et les kilomètres. Travailler
ses trajectoires, éviter les plaques, les rustines de macadam,
écouter arriver ceux des automobilistes qui dans notre dos vont
nous frôler au plus prés comme par jeu pour mieux nous
intimider…et pester contre ces autos qui nous « serrent » et qui
s’arrêtent nous obligeant « à déchausser » et à reprendre notre train
en puisant dans nos énergies injustement.
La descente du Bannstein n’est même pas heureuse puisque l’air
froid glace notre sueur après la transpiration.
On rentrera au plus court sans s’offrir aucune fioriture de
parcours avec la pluie au rendez-vous aux portes de Mulhouse.
Vite, au sec!
Mais on dormira apaisé, dit-on…