
En Alsace, on suit le problème de loin.
Résumons.
A Paris existait le Vélib de Jean-Claude Decaux.
Un vélo en libre service comme en connaissent la plupart des métropoles.
Le Vélib donnait globalement satisfaction à des gens qui l’utilisaient souvent en continuité des transports publics.
Mais voila que la Mairie de Paris rompt le contrat avec Decaux et c’est la société Smovengo de Montpellier à capitaux espagnol qui enlève le marché.
Bien sûr, Decaux démonte son matériel.
Depuis c’est la catastrophe car Smovengo a du réinstaller des bornes de location et en même temps livrer des vélos à assistance électrique.

C’est d’une telle complexité que plus rien ne marche.
24000 bornes seraient concernées et la plupart des vélos sont inopérants.

