J’ai croisé un grand-père qui descendait le sentier qui mène à la stèle du RI. Je lui ai volontiers laissé la priorité. Voyant que je montais en poussant, il m’a dit « ça va mieux dans l’autre sens!… ». Je lui ai répondu je suis un cycliste à pied et il a ri.
Notez qu’entre un cycliste à pied et un marcheur à vélo la différence est ténue. J’y ai songé en chemin…sans trouver comment départager les deux états. Finalement j’en suis resté à l’état stationnaire, au moins cycliste et marcheur se rencontrent et peuvent faire un brin de causette.
J’ai pris mon courage à deux mains. Je ne sais pas pourquoi on dit ça puisque mon courage tenait facilement dans une seule main. J’ai grimpé le Rangen jusqu’à la chapelle.
Et ensuite j’ai ondulé le long de la pente. J’ai poussé jusqu’à Haïda Platzala. Haïda n’était pas là.
Puis j’ai continué jusqu’à la cote 425
Haïda c’est soit « les païens », soit une lande de bruyères; merci pour toutes les jolies photos, et bonne continuation.
Hugues
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