Le Gravel façon graveleux

J’aime « 200, toutes les aventures du vélo ».

Mais pour combien de temps encore?

200 défend sa ligne. Celle d’un magazine de vélo tourné bobo, je veux dire bourgeois-bohème pour ceux qui ignorent ce qu’est le bobo.

Donc pour suivre 200, il faut à la fois avoir des thunes pour s’équiper haut de gamme et avoir envie de rêver en trainant son vélo dans la neige autour de la Baltique.

3000 balles pour se faire plaisir et rentrer tout crotté, non!

Si t’es pas content, tu te tires. Alors je ne sais pas si je vais me réabonner (24 euros/4 numéros)

Avec ce numéro 39 de 200, un article de Gravel, vous savez le vélo fait pour rouler dans les graviers, le long de la gravière.

Evidemment le chemin de gravier n’existe pas chez nous. Le Gravel, on le sait n’est fait que pour rouler sur les DFCI (défense des forêts contre l’incendie) dans l’Esterel.

En plus à bien regarder, il est moche le Gravel Cévé. Avec sa fourche télescopique, on va bientôt avoir un VTT. Regardez le zouave qui va monter sur une selle aussi haute, à quoi va t-il ressembler?

Vous allez chez Emmaüs acheter un vieux routier en ferraille, vous le désossez et vous avez un Gravel.

C’était mon quart d’heure matinal de mauvaise humeur.

                                                                                                                                  

200 vient de paraître

Ne soyons pas trop mec, les meufs sont là

200 m’agace. Mais je le lis.

Cette édition comporte un raid pyrénéen où les participants se font peur en portant leur bécane sur le dos au bout des chemins restés à l’état sauvage. Voyage toujours minimaliste en terme de bagages embarqués. C’est la mode et c’est moins lourd à porter.

Cela dit on revient parfois de ces périples linéaires en TER. C’est contraire à mes valeurs. Mais je me soigne comme je peux pour en accepter le principe.

Paris-Brest-Paris, « l’Himalaya quadriennal du cyclotourisme français », est à l’honneur. Un truc où comme par hasard on revient au point de départ sans prendre le train et comme si on avait oublié de fermer le gaz avant de partir.

Parmi les 6800 candidats, 18 pilotes du Concours de Machines. Je vous présente les trois premiers vélo primés.

1er prix

Cycles Gamory en bambou. 8258 euros. Sans l’extincteur!

2eme prix

Purple Dog, un peu vintage d’allure mais boite de vitesse et courroie (5700 euros) Mon oeil!

3eme prix

Quokka Cycles (10897.90 euros!)

200 est une revue de qualité, bien écrite, bien illustrée qui s’adresse néanmoins à un public un peu bobo et friqué.

Bon, je sens que je vais prendre l’air, ce matin. Je me sens bien.

Connards de cyclistes

J’y vais ou j’y vais pas? comment les cyclistes élaborent leurs stratégies d’évitement des interdits (illustration d’une zone 30 avec interdiction temporaire aux heures d’école, en principe un cycliste devrait pouvoir circuler surtout les parents et les enfants)

Connards de cyclistes!

En réponse à l’insulte la plus répandue chez les militants du tout-voiture à l’égard des cyclistes, le magazine 200 (n°36) a voulu savoir.

Il s’est livré à une enquête auprès de cyclistes « presque tous de la région parisienne » afin de connaître leur façon de se conduire sur leur vélo et donc identifier ce qui peut justifier une telle mésentente entre le monde du vélo et celui de la voiture.

Cette enquête met en évidence deux attitudes opposées de comportements selon que l’on est cycliste ou automobiliste.

L’automobiliste est livré à un carcan: celui du respect du code de la route auquel il n’a pas de solutions dérogatoires bien qu’il dispose à présent de centrales de navigation capables de contourner les itinéraires chargés. Un feu reste un feu!

Le cycliste décide et fait des choix stratégiques en fonction des situations rencontrées. Il s’adapte « en fonction des coûts et bénéfices estimés de chaque comportement ».

  • stratégie d’évitement (bouchon ou itinéraire dégradé)
  • stratégie de contournement (trottoir)
  • stratégie de maximisation du bénéfice en regard de l’infraction selon qu’elle est élevée ou faible (feu brûlé, sens interdit)
  • Face à ce constat, la FUB (fédération des usagers de la bicyclette) y voit un manque d’infrastructures dédiées aux vélos et souligne qu’en 2022, il n’y a eu qu’un seul mort à vélo.

Résultat du sondage organisé par le magazine 200 sur l’attitude des cyclistes en région parisienne

J’en retiens que :

  • 86% passent au rouge
  • 80% roulent en portant des vêtements sombres
  • 80% en s’arrêtent pas au stop

Finalement, j’aboutis à la conclusion que le code de la route n’est pas fait pour les vélos. Je m’en doutais un peu.

Il est clair qu’à un feu si la route est vide, à quoi bon attendre pour redémarrer!

Un stop passé au ralenti convient très bien dès lors que « sur la bande blanche » on voit s’il n’y a personne.

En revanche, je porte des vêtements clairs en ville par faible visibilité et j’ai un éclairage permanent de jour comme de nuit.

sondage du magazine 200

200

200 est arrivé dans les boites.

Dans la rubrique « Débuter » de ce mois, un article dénommé « Va te faire voir » consistant à dénoncer ceux qui roulent sans qu’on puisse les voir sur la route.

Ils sont nombreux et ce ne sont pas que des débutants, je peux en témoigner.

200, chiffres à l’appui, calcule qu’à 90km/h un automobiliste peut nous apercevoir à seulement 100 mètres derrière nous…soit quatre secondes avant de nous percuter.

En revanche, bien signalé avec une veste de pluie orange ou un gilet fluo, vous serez vu de jour bien avant 100 mètres. De nuit, c’est différent. Le gilet rétroréfléchissant homologué et un feu arrière est obligatoire. Sans parler du reste, à savoir le feu avant, les dispositifs réfléchissants latéraux dans les rayons et ceux des pédales ainsi qu’à l’avant et à l’arrière du vélo.

Le 30 novembre une démarcheuse commerciale d’une boite de vêtements cyclos que je ne nommerai pas m’a demandé de collaborer sur mon blog.

Vu que dans le catalogue il y avait des vêtements noirs, j’ai décliné l’offre.

Ainsi des fabricants continuent encore de proposer à la vente des vêtements cyclistes noirs. On devrait les interdire puisque nous sommes nombreux à rouler en noir. La tenue des enterrements.

Bravo donc à 200, magazine sentimental, qui ce mois-ci encore nous abreuve de belles randos façon baroudeurs qui ne se prennent pas trop la tête.

L’un d’eux a même fait un malaise cardiaque à cause de son impréparation dans un raid sur le plateau de Millevaches.

Ô la vache!

200

200, c’est un peu l’aristocratie du vélo nouvelle vague.

Un peu baroudeur et un peu bobo. Faut faire avec cette addiction au Gravel très tendance.

La promo s’effectue d’abord sur le haut de gamme. Y compris en charcuterie qui donne aussi bien le cancer colorectal qu’au rayon viandes du Leclerc.

7 kg de CO2

Mais je les aime quand même à 200. Ah enfin! qui aime bien, châtie bien. Aborder la décarbonation par le vélo, pourquoi pas! Alors on va contempler le lac de Tignes qui se vide à vue de guidon et la gentille fonte des glaciers.

Trois TER et un bus pour rejoindre la montagne à Modane pour l’un et un TGV pour l’autre. 7 kg de CO2. On ne peut pas se priver de tout non plus. On ne sait pas comment ont voyagé les vélos?…si on le sait au retour: « mon gravel se balance contre la vitre du TER qui me ramène en Auvergne, suspendu à son crochet comme à un croc de boucher« .

2 jours 16 heures

Une grande traversée de l’Espagne du nord au sud de 1238km, d’Anglet à Nerja. Assez pour baver devant les images rapportées…dont de longues droites bitumées où je m’ennuierais.

Victor Bouscavet l’a faite en 2 jours 16 heures! D’autres en trois ou quatre jours…

Puis encore d’autres voyages avec de jolis textes et beaucoup de photos qui donnent envie.

Comme toujours.

200 et les vacances

« 200, toutes les aventures à vélo » Le n°33 vient de paraître.

Dans ce numéro de 200 , un spécial « vacances à vélo ». Je viens justement de rentrer d’un voyage de cinq jours avec tente et bagages. C’est intéressant de voir comment 200 aborde le sujet.

Faut-il emporter des rayons de rechange, s’interroge Rim Mtibaa en préparant son voyage Paris-Arles?

Elle ne répond pas. Je n’élude pas la question. On casse très peu de rayons sur les roues modernes. Il est fini le temps où le cyclotouriste avait un rayon de dépannage collé sur le cadre. Si on casse un rayon c’est souvent parce que la chaîne a quitté le dernier pignon et grignoté le rayonnage ou parce qu’on s’est pris un corps étranger dans la roue. Un rayon cassé n’empêche pas de rouler sauf si le voilage est trop important, Dans ce cas on desserre l’écartement de frein ou on desserre le rayon opposé au rayon cassé avec une clé à rayon pour diminuer le voilage. Et le rayon cassé? soit on l’attache au rayon voisin en le tortillant, soit on le dévisse…mais vous risquez d’entendre l’écrou se balader dans la jante.

Rim ne s’est pas trop appesantie sur le contenu de son bagage, mais il semblait lourd. Une fois à Arles, elle est revenue en TER jusqu’à Paris.

Nathan en Norvège a pissé sur sa roue libre gelée

Nathan Pigourier a bouclé trois longs voyages de 13.000 km. Là, c’est du lourd aussi! Au début, il visait une tente trois places capable de loger son vélo, un ukulélé, deux livres et un tas de trucs inutiles qui n’ont jamais servi.

Mais avec lui, on rentre dans le sujet: si on choisit son vélo pour le voyage, mieux vaut l’essayer avant pour le régler. Elémentaire mon chez Watson.

L’entretien du vélo. Le néophyte ne sait rien mais il apprend un minimum. Qu’une chaine s’use, qu’il faut savoir la remplacer, monter une attache rapide, qu’une roue se dévoile avec une clé à rayon, qu’il faut savoir démonter une roue, changer une chambre, un pneu, gonfler sans casser la valve,…détordre une patte de dérailleur, régler un câble de frein, de dérailleur, …

Tout dépendra des contrées exotiques visitées et de la distance parcourue…

Ne pas compter trouver des pistes cyclables partout

Nathan le sait, des pistes, c’est pour les pays riches. Et même en France, il en manquera toujours un bout pour aller de A à Z. Alors l’idée de passer sous les roues d’un camion devient probable, mieux vaut s’en protéger. Gilet jaune? oui, feu rouge clignotant? oui, ça réveille les conducteurs somnolents dans les lignes droites, surtout qu’un cycliste ce n’est qu’un point minuscule dans le spectre du paysage. Eviter les sorties de ville à l’heure du boulot? ça c’est pas facile quand il faut partir tôt pour éviter la chaleur estivale.

Comment garer son vélo pour les courses?

J’y suis confronté aussi. Si on va à l’Aldi acheter des compotes, il faut mettre son vélo en évidence de telle de sorte qu’il soit en vue de vous depuis l’intérieur du magasin. Pas facile. Et poser vos antivols, un sur chaque roue. Même s’il n’y a pas d’ancrage possible. Nathan a une autre astuce, mettre le plus grand braquet avant de s’arrêter pour que le voleur n’arrive pas à partir vite. Moi, je préfère les antivols. Pour les bistrots et la pizzéria, c’est vélo en face et rien d’autre.

En camping, je rentre toutes les sacoches dans ma tente. Nathan dit la même chose, donc j’ai bon.

J’évite d’attacher mon vélo à la poignée de la caravane du voisin, surtout si c’est un Néerlandais qui part tôt le matin!

Je n’ai pas l’expérience du bivouac. J’avoue ne pas trop sentir la chose. Dormir sur terrain foot et être réveillé par l’arroseur automatique…Mais Nathan a cette expérience. Il dit ne rien craindre. Sauf les sangliers, les hérissons et les chouettes, personne ne vous dérangera.

Les chiens

Sujet classique pour un cycliste voyageur ou pas. On connait tous le phénomène. La littérature cycliste sur la conduite à tenir est abondante. Sachez qu’en dernier ressort, et avant de tomber, mieux vaut descendre et se protéger derrière son vélo…et attendre.

La pluie

Ben oui, la pluie mouille.

Voyageur, pense d’abord à t’arrêter avant d’être tout mouillé. Sous un porche ou un abribus. J’ai une bonne veste Vaude qui protège le haut. Le bas séchera en pédalant. Si vos chaussures font « glouglou », c’est embêtant. Dans ce cas le seul moyen de fortune, ce sont les sacs plastique, un dans chaque pied. Si vous êtes un « pro » du voyage, vous aurez enfilé vous surchaussures étanches avant la pluie.

Quel vélo?

Un vélo comme celui-ci me conviendrait parfaitement pour voyager avec des sacoches. Pour le reste, je ne saurais pas trop quoi en faire et vu l’investissement, mieux vaut réfléchir avant

Je suis d’accord avec 200, tous les vélos sont bons si on ne dépasse 50 km par jour. A une condition, c’est qu’il soit à votre taille et en bon état. N’achetez pas un vélo sans être conseillé, car il se vend beaucoup de camelote dans les bas prix. Je me tournerais davantage vers un vélo d’occasion vendu par un connaisseur.

N’achetez pas non plus un char d’assaut! Le vocable à retenir, c’est randonneuse, VTC ou Gravel qui sont des cycles voisins en conception, la randonneuse étant cependant assimilée à un cycle léger à ne pas trop charger.

Les Eurovéloroutes et Voies Vertes

Méfiance! sous ce vocable, on trouve de tout et parfois rien du tout. Certains tronçons sont parfois si mal entretenus que mieux vaut prendre la départementale voisine. Et savoir aussi que les Voies Vertes sont souvent des voies locales ouvertes à tous véhicules.

Les sacoches

Charger d’abord l’avant du vélo. 200 perpétue une pratique qui veut qu’on équipe d’abord l’avant du vélo avant l’arrière en sacoches. Dans la réalité on fait souvent l’inverse. Je ne prends position , je n’ai jamais essayé et mes sacoches avant sont encore dans leur emballage. Ma fourche carbone ne permet pas ce montage. Mon prochain vélo, peut-être…

Les itinéraires

A chacun son truc. La bonne vieille carte est toujours indispensable. J’y ajoute mon GPS sur lequel j’ai préchargé mon itinéraire. Mais je le conçois, un GPS demande une expérience et un investissement. On peut se contenter d’une feuille de route à l’ancienne.

Puis 200 rapporte une somme d’expériences à vélo vécues par des voyageurs. Les variantes sont nombreuses. Il faut adapter sa monture à son type de voyage et surtout à ses goûts.

200, magazine curieux

On a avril, mai, juin pour le parcourir le magazine 200 qui vient de paraître.

Le vélo de route autrement est devenu Toutes les aventures du vélo.

Je ne l’ai pas encore entr’ouvert que déjà une polémique s’installe sur Facebook à propos de la couverture.

Des enfants du Rwanda en tong qui entourent un cycliste. C’est colonialiste estiment certains.

Pour faire court, six cyclistes dont les rédacteurs prennent l’avion à Amsterdam avec leur vélo et atterrissent à Kigali pour participer à la Rwanda Beyond Bikepacking soit 850 kilomètres à parcourir en sept jours.

Moi je ne dis rien, mais ça ressemble un peu dans mon imaginaire au Paris-Dakar sans la pollution. Il ne me viendrait pas à l’idée d’aller mettre mes roues dans un des pays les plus pauvres de la planète (PIB 200€/an/hab) en mettant mon vélo dans une soute d’Airbus et de faire le buzz ensuite dans une revue.

Y lire une ode au colonialisme, c’est nous prendre pour des sales cons…nous avons fait un pari sur l’intelligence et la confiance de nos lecteurs, leur capacité à ne pas projeter leurs propres clichés sur une image écrit Matthieu Lifschitz, corédacteur de l’article. La défense n’est pas facile lorsqu’il s’agit en fait d’une forme de néocolonialisme. Sinon comment l’appeler autrement dans un pays où le seul moyen de se déplacer est de marcher à pied (Un pays qui marche)? même pas à vélo, lequel est réservé au transport de marchandises, aux taxis et à la police.

Ensuite viennent 25 pages consacrées au raid à vélo.

Bref, cette curiosité là de 200 a créé le malaise.

N’en parlons plus!

200

Ma femme qui ne fait pas de vélo a eu tout de suite le regard attiré par la revue 200.

Réflexe de femme!

Bon moi les bonnes femmes je m’en fous, c’est le vélo qui compte et c’est 200 qui conte.

Ouarf! je vais avoir un tombereau d’insultes féministes en écritures inclusives.

Non, il est bien le 200 de ce trimestre.

Il y a un type, stakhanoviste sans doute, qui a fait le tour d’URSS en 1927, le Love Tour qui passe par Strasbourg le 15 juillet et qu’on pourra prendre en route, un feu Gnog LIL’Cobber qui clignote et qu’on voit de loin, un ensemble en laine de bure style Fausto Coppi des années 50 à 250 euros (glup’s!) et je me suis marré, la traversée des Pyrénées par la véloroute V81: un vrai désastre de malfaçons et d’ennuis!

Donc ne pas aller par là.

Bon , c’est un chero 200 et ça revient souvent. Finalement non, 22 euros les 4 numéros. Je me suis trompé.

A déguster sans modération.

200, les bandits joyeux

Le numéro 27 de 200 vient de paraître.

Toujours un peu déjantés, les journalistes de 200 se font plaisir et nous font plaisir en même temps. Il est vrai que la tonalité de 200 dans le style baroudeurs est plutôt bienvenue avec une tendance marquée à promouvoir le bike-packing tous azimuts.

Dans ce numéro, ils ont essayé le bike-rafting sur l’Hérault. De la franche rigolade.

200 vient de paraître

200 le magazine sensible de janvier vient de paraître.

Le feuilleter, le toucher, c’est une façon de s’en imprégner avant même d’en entamer la lecture.

Des 200 km, je n’en ai pas fait beaucoup. Juste quelques Audax, mon dernier remontant à 2008!…Cette année là, notre Audax a été accompli à 25km/h environ, 1950m de dénivelée.Un peu au-dessus des 22.5 prévus donc. En peloton, 200 km c’est plus facile que tout seul. Gardons raison!

Enfin 200 bornes avec de l’entraînement, c’est accessible à beaucoup d’entre-nous. Si le magazine a choisi de s’appeler 200, c’est j’imagine pour défendre son esprit baroudeur à vélo.

200, l’autre vélo

On a toujours besoin d’une autre vélo.

Le sien n’est pas celui que l’on aimerait faire.

Alors il y a 200. Le magazine. Continuer à lire … « 200, l’autre vélo »

Cyclo-trailer, l’équipement

L’amateur de raid à vélo embarque le minimum de choses

Voyager avec son temps, je ne suis pas contre.

Mais l’équipement du cyclo-trailer moderne me laisse songeur… Continuer à lire … « Cyclo-trailer, l’équipement »

200 vous fait vivre l’aventure

le N°10 du magazine 200 vient de paraître
le N°10 du magazine 200 vient de paraître

Ce magazine auquel je suis abonné depuis peu ne cesse de m’enchanter.

Tant mieux!

Ça me change d’une revue indigeste dont je ne citerai pas le nom. Continuer à lire … « 200 vous fait vivre l’aventure »

Serge Mannheim à l’honneur

Le vélo « fait main » de Serge Mannheim a subi avec succès l’épreuve du magazine 200 (N°10 automne 2016)

Serge Mannheim, le sympathique vélociste de Vieux-Thann vient d’être récompensé par le Magazine 200.

Il s’agissait de concourir entre 17 fabricants français. Continuer à lire … « Serge Mannheim à l’honneur »

200 est paru

200, c’est le magazine vélo dans le ton.

Il parait qu’il est addictif.

Dans quel ton, au fait? Continuer à lire … « 200 est paru »

Ça manque de meufs!

Avec son numéro 8 qui vient de paraître, le magazine 200 nous plonge dans l’équivoque.

Titrant sur sa une « ça manque de filles! », il nous promet ensuite un été torride avec « le tour de Montcuq! ». Continuer à lire … « Ça manque de meufs! »

200, le vélo de route autrement

 “Puisque tu ne trouves pas en rayons le magazine de vélo que tu aimerais lire, tu n’as qu’à le faire toi-même, gros malin.”

C’est à partir de là que le projet est né.

200.

C’est le nom du magazine qui vient de faire paraître son septième numéro.

200 ou le vélo de route autrement. Continuer à lire … « 200, le vélo de route autrement »

samedi, 200 ou 400km au choix

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, samedi, 200 ou 400km au choix

audax-vélomaxou

Samedi 28 mai, les amateurs de longues distances auront le choix
entre le 200 km Audax organisé par les Audax d’Alsace à Illzach ou
le 400 km du Brevet Randonneur Mondiaux organisé par ACS Peugeot à
l’Ile Napoléon de Sausheim.