Ma femme qui ne fait pas de vélo a eu tout de suite le regard attiré par la revue 200.
Réflexe de femme!
Bon moi les bonnes femmes je m’en fous, c’est le vélo qui compte et c’est 200 qui conte.
Ouarf! je vais avoir un tombereau d’insultes féministes en écritures inclusives.
Non, il est bien le 200 de ce trimestre.
Il y a un type, stakhanoviste sans doute, qui a fait le tour d’URSS en 1927, le Love Tour qui passe par Strasbourg le 15 juillet et qu’on pourra prendre en route, un feu Gnog LIL’Cobber qui clignote et qu’on voit de loin, un ensemble en laine de bure style Fausto Coppi des années 50 à 250 euros (glup’s!) et je me suis marré, la traversée des Pyrénées par la véloroute V81: un vrai désastre de malfaçons et d’ennuis!
Donc ne pas aller par là.
Bon , c’est un chero 200 et ça revient souvent. Finalement non, 22 euros les 4 numéros. Je me suis trompé.
A déguster sans modération.
velomaxou 
« Cette revue 200 semble décidément qualitative », me dis-je,… avant de voir, horrifié, sur la couverture ce « Tou.te.s en piste » en écriture non pas inclusive (ça, c’est le vocabulaire de l’ennemi qui veut toujours donner une connotation positive à sa dinguerie) mais frelatée et dégénérée… Du coup, le pire est à craindre, il doit y avoir plein de morceaux de « progressisme » dedans !
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Il est bien précisé en haut de couverture : « 132 pages / Attention magazine sauvageon » … !
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Gleb Travine, le centaure de l’arctique ou l’homme qui chevauche un renne de fer…
J’ai lu son histoire il y a pas mal d’années, relatée par Yves Gauthier chez Actes Sud. Stakanoviste, non, peut-être, simplement envie de faire un tour…
Au même rayon que Derzou Ouzala ou Sylvain Tesson dans les forêts de Sibérie
Au plaisir
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