Hierges

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Le 10 mai 2018, je quittais Aubrives.

D’abord une halte à Hierges, le village médiéval qui dort encore.

Mon cheval brinquebalant sur les pavés fait fuir les chats.

Le coût du col

Combien coûte un col au Feldberg?

Cette réflexion m’a été inspirée lors des rencontres régionales de la Confrérie des Cent Cols à Sentheim.

Il paraîtrait qu’une étude a déjà été menée à ce sujet.

Il ne s’agit pas du col de la bouteille…mais des cols franchis à vélo.

Oui, faire des cols à vélo aurait un coût!

5 euros le col!

Surtout chez les Cent Cols qui cherchent d’année en année à enrichir leur palmarès.

Ainsi certains font des milliers de kilomètres en voiture pour grimper à vélo quelques cols éloignés.

Je ne parle pas de ceux qui prennent l’avion pour la Cordillère des Andes ou l’Himalaya avec leur vélo dans la soute!

Tout ça pour dire que cette activité cycliste n’a rien d’écologique du tout.

Je dois le reconnaître, certains jours j’ai honte.

Je suis même tellement tétanisé à l’idée d’aller faire des cols dans les Vosges du Nord et de devoir prendre ma voiture que je sursois.

Le mieux serait d’équiper un Gravel et de partir avec ses sacoches.

Notez bien qu’un cyclo à sacoches dépensent en moyenne 70 euros par jour.

Cela dit, vous trouverez dans mon catalogue de cols de nombreuses balades autour de Mulhouse où mon approche voiture a été « maximisée ».

Cent kilomètres de voiture pour faire 10 cols, ça revient à 5€ le col (avec un coût kilométrique de 50 centimes d’€) comme ici au Feldberg

Je vous laisse méditer.

Avec mes 1000 cols au compteur, j’aurai mis pas mal de tunes (de pognon, dirait Macron) dans l’affaire.

LADDA la batterie IKEA

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LADDA, la batterie IKEA va t-elle défier Eneloop?

Partir avec son GPS, c’est bien.

Avec des batteries chargées, c’est mieux.

Ne pas compter plus de 6 heures d’autonomie quand votre GPS doit faire des miracles, recherche de waypoints, zoom fréquents, sauter d’une page à l’autre,…

mes batteries actuelles me donnent entière satisfaction. je les ai renouvelées en 2017 (12 euros les 4)

J’utilise des batteries Eneloop Ni-MH de 1900 mAh (nickel-hydrure métallique).

J’ai donc deux jeux.

Un en service et un en secours.

Mais voici qu’IKEA, le marchand de meubles suédois rendus célèbres pour ses Kungsfors, Hattefjäll et autres Delaktig vend aussi des batteries japonaises (fabriquées en Thaïlande).

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Elles s’appellent LADDA 2450 mAh.

4.99 les 4 pièces!

Que valent-elles?

Je n’en sais fichtre rien.

Vendues prêtes à l’emploi.

Mon œil!

Elles vont avaler 200 milliampères toute une nuit avant d’être à point.

Maintenant, un conseil: ne mélanger pas vos batteries, utilisez les par paire.

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Appairer ses batteries avec un code couleur

Je mets un scotch couleur autour.

Comme ça, au bord du chemin, quand je fais l’échange dans le GPS, je sais lesquelles je retire et lesquelles remettre.

Quand je rentre à la maison je pense à les recharger.

C’est mieux pour le voyage suivant.

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Les lectures du dimanche matin

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Les lectures de ce matin sur vélomaxou:

Où va le cyclotourisme?

L’esprit club

Les dégâts de la compétition

Clubs cyclos, à la recherche du second souffle

18 parcours VTT autour de Mulhouse

Des billets souvent anciens que mes lecteurs relisent.

 

Demain potins

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Le glamour dont on cause

Demain dans mes potins, coup de gueule sur Macron.

J’en ai besoin de temps en temps.

ça me fait du bien…et en plus ça fait râler tous ceux qui ne pensent pas comme moi.

Je vous rassure, ça ne sera pas méchant.

Juste une caricature de la suffisance en politique.

Bon dimanche sur nos vélos!

Hirtzbach avec Renée Hallez

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Je lis petit.

Pas à pas.

Page après page.

J’en ai terminé avec mes Récits fantastiques de Théophile.

(Mon article du 4 mai)

La Jettatura. Le dernier récit est pénible.

Le type est accusé de jeter de mauvais sorts rien qu’avec son regard.

Les mauvais regards, c’est redevenu à la mode dans les gazettes de faits-divers.

Bref, il en a marre, il se crève les yeux.

A Hirtzbach, l’affluent de l’Ill coule au milieu du village

Pour s’endormir le soir, c’est pas facile.

Mais enfin, j’ai été ébloui par le beau vocabulaire ciselé de Théophile Gautier.

Maintenant je passe à un polar local avec de mauvais esprits.

C’est Renée Hallez rencontrée à Cultura qui assure sa promotion elle-même.

Je vais je l’espère moins ramer qu’avec Théophile.

C’est écrit gros!

Pour le soir, quand les paupières tombent, les gros caractères me conviennent.

Donc, c’est quatre sales gosses de la bourgeoisie qui reviennent à Hirtzbach chez leur grand-mère.

Des HaxWildtribb qui disent ici.

C’est bien ce polar parce que j’apprends l’Alsaco en même temps.

Hax, la sorcière qui ressemble à Hexenplatz que j’ai traversé là-haut du coté du Blauen avec mon VTT

Wild, sauvage comme les bêtes

tribb, je présume tribu.

Les sauvageons commencent à investir De Dorfascht (la fête du village) et à y mettre de l’ambiance.

Ça commence  plutôt bien…

« Jusqu’à ce qu’il n’en reste rien » de Renée Hallez, éd. du Bastberg ISBN 9782358590907