2012, 2013, 2014…2016…2020 (voir ici)
Mes montées au Blauen sont de plus en plus espacées. L’effet du à l’âge sans nul doute.
Ce n’est pas un exploit. Les locaux du vélo connaissent bien cette cime de la Forêt Noire de l’autre coté du Rhin. J’y retourne par la face sud. La moins difficile diront les connaisseurs. Monter par Badenweiler est plus direct, moins attrayant!
Cela dit si cette face est moins pentue, il faut quand même pédaler. Malsburg-Marzell est aussi très « physique » surtout après être monté auparavant au Käsacker.
Mais les paysages sont si beaux qu’on est tout de suite récompensés de ses efforts.

Pour la petite histoire, en quittant le Blauen j’ai oublié mon sac là-haut avec papiers, clés, argent. Je m’en suis rendu compte après trois kilomètres de descente. Remontant au Blauen, j’ai eu la chance de retrouver mon bien…et alors même qu’il y a avait beaucoup de monde, motards, randonneurs, cyclistes,…et aucun voleur!
Rétrospectivement, je mesure la somme d’embarras qui m’ont été évités si j’avais du « refaire » mes papiers.
Ce qui devient une évidence de ce coté de l’outre-Rhin, c’est la prééminence du vélo électrique. Toutes générations et tous modes confondus (route, VTT, ville).
Regrets!






















