Mesnil-Saint-Père

Huile carton toilé 40×30

Mesnil-Saint-Père est au bord du lac du la Forêt d’Orient dans l’Aube.

Vague

huile sur carton toilé 30×40

On a retrouvé Zuber

En compagnie de Lionel, JB, Sébastien

On a enfin trouvé la Vue Zuber. J’en ris presque parce que la fois dernière je l’ai ratée.

La Vue Zuber, c’est à la marguerite sur Openrunner, après le km 12 à la cote 637

Une fois au col de Teufelsgrund, ne pas se tromper, prendre soit en face soit le chemin qui monte légèrement à droite.

C’est d’une simplicité biblique diraient les autochtones.

la première grimpée sur les hauteurs de Thann est gratinée

Aujourd’hui on commence fort la nouvelle année par la grimpée à la Croix Républicaine (ou la Croix de Lorraine si vous préférez) qui domine Thann. Quinze pour cent derrière le cimetière juif au bout de la rue Humberger. Ce qui me vaut de pousser dès le départ.

Ensuite on prend le col du Staufen. Les chasseurs veillent à ce qu’on ne rentre pas dans leur zone de combat. Tout se passe bien.

Puis au col du Plan Diebold on profite un peu du feu de bois.

Plan Diebold

Au chalet Baumann du Weïerlé, on s’abandonne dans la douceur du feu à l’âtre.

chalet Baumann

Au col de Teufelsgrund, je prends une ornière cachée sous les feuilles …et boum! Je m’arrête brutalement. J’ai la visière du casque qui tape et les neurones qui s’agitent. Bizarrement en me relevant, j’ai le guidon à l’envers…comment est-ce possible? un compagnon me fait observer qu’un 180° règlera l’affaire.

Le choc à fait crac dans le poignet gauche et la jambe me picote.

Rien de grave cependant puisque je n’ai pas demandé quel jour on était. J’ai rebooté le disque et run. Mais le GPS s’est quand même éteint…peut-être un airbag interne!…

Vue Zuber, Geishouse en face

La descente après Zuber est agréable. Au-dessus du parcours Vita, on musarde le long de Saint-Theobaldwald.

descente à Vita, vue sur le réservoir de Michelbach

Je ne sais pas dire si on peut parler de la reprise du Club Etoile 78 puisque la météo d’hiver ressemble encore ici à l’automne avec 10 degrès.

https://www.openrunner.com/route-details/16025708

17km/444m

Tour de patelins

En l’absence de neige, le bonhomme de neige est resté de glace (Berrwiller)
Un tour de patelins

Je n’ai pas cherché longtemps pour trouver mon titre. Qu’on m’en excuse.

J’aime beaucoup cette vue (Hartmannswiller)

Cette fois en traversant Issenheim, j’ai surveillé mon GPS…et il s’est éteint comme les fois précédentes pour la troisième fois et c’était en face du numéro 59 de la rue de Guebwiller. Le mystère demeure. (voir mon billet du 25 novembre 22)

Ce tunnel est intéressant, il traverse la D83 à Issenheim. Anciennement on longeait le ruisseau qui a été busé
J’aime bien aussi le charme de ces constructions (sans les voitures) Raedersheim
Maisons de mine à Ungersheim
600 logements en construction me dit la dame avec son chien. Le chien acquiesce. Ensisheim au bord de la gravière derrière Super U
Les abords sont déjà viabilisés
1.5km de piste en construction Staff-Wittelsheim
Le fond de forme est prêt

Vélo fait main ou pas ?

Mon vélociste, Serge Mannheim, est toujours fier de me présenter ses cycles « fait main ».

Contrairement à la plupart de nos vélos « assemblés en France », plus rien n’est fabriqué chez nous.

Serge Mannheim a encore des commandes pour des vélos sur mesure et c’est lui qui fabrique le cadre…puis ajoute les composants au goût de l’acheteur.

Ce vélo pour dame va partir bientôt.

Le fait main est devenu rare. Concurrencé par le vélo d’usine, les artisans peinent à se faire une place car le fait main est forcément plus cher. C’est donc le coup de cœur qui parle avant le porte-monnaie de l’acheteur. Mais ne nous trompons-pas, le cadreur sait aussi faire du vélo électrique et Serge Mannheim a été un précurseur depuis plusieurs années.

Electrique, il est muni d’une batterie de 530 Wh et pèse 15kg.

Prix à partir de 4900 euros!

L’électrique assure le quotidien du vélociste

S’agissant des vélos électriques, ils représentent à présent 40% en chiffre d’affaires. Il ne faut donc pas négliger cette clientèle nouvelle qui veut « du lourd ».

STROMER ST3 45km/h pour la ville, la route et le turbin

les utilisateurs rognent les trois premiers pignons

Pour les amateurs de VTT, le choix est grand. Je suis désormais quasiment seul en semaine avec mon VTT muscu à sillonner le massif.

Serge Mannheim se frotte les mains: l’entretien des VTTAE assure son quotidien. Des chaînes, des transmissions…et des pannes liées à l’électronique fragile.

En outre, souvent les utilisateurs rognent les trois premiers pignons plus vite que la cassette, car ils oublient parfois, me dit-il, de pédaler, préférant passer l’électrique en mode pleine puissance la plupart du temps.

Je n’y connais rien en VTTAE, mais je comprends. Un peu.

Trottinettes, ils viennent me voir pour changer les pneus.

Serge ne veut pas s’occuper de trottinettes. De nombreux engins sont achetés sur le net et après ils viennent me voir pour changer les pneus. Je ne suis pas d’accord pour prendre en charge ces engins, d’autant que l’électronique à bord souffre des vibrations et est sujette à des pannes

Le Gravel se porte bien

Le gravel se porte bien. Muni de pneus crantés, de freins à disques, un beau Look tout carbone revient à 3000 euros. 9,700 kg

LOOK 765 GRAVEL BLACK GLOSSY MAT 3200 euros

Vélo au garage

Encore une tentative de garage public pour vélo. Un réceptacle potentiel à ordures. Le bac s’ouvre sans clé.

Une grosse poubelle à vélo

Velomagg, l’essai

Tout juste bon à rejoindre le centre-ville

Vélomagg, c’est le Velib montpelliérain. Je l’ai essayé aujourd’hui. Reportage.

L’essayer c’est pas l’adopter

L’archétype du tas de ferraille

En langage cycliste, nous dirons que c’est un tas de ferraille. Passons.

Pour accéder au service, il faut télécharger l’application M’ticket puis enregistrer sa carte bleue. C’est une action qui requiert de la confiance. Après quoi on vous débite 150 euros de garantie et on peut ensuite prendre un vélo à la première station disponible. Le service est facturé 50 centimes l’heure.

3,7km 25 minutes

Après avoir entré sur le tableau de bord du vélo mon numéro de compte et mon code pin délivré en retour de l’inscription, mon vélo est déverrouillé de sa borne d’ancrage.

Vérifier que les pneus sont gonflés et régler la selle.

Je pars. Première impression ça n’avance pas. On a le sentiment de conduire un poids lourd. Le pédalier craque et grince. Le développement est nul. Trois vitesses. La une et la deux sont très courtes et la trois vous assure le mode courant. Pas de danseuse, trop casse-gueule. Pas de freins non plus avec les gros tambours. Au bout de 25 minutes j’ai rejoint le centre-ville 3,7km!

Nexus trois vitesses au moyeu

Je vais en reprendre un autre pour rentrer. Finalement le tram est plus sympa…

…même si le deuxième vélo était plus roulant. Il est évident que ce type d’engin est incapable de vous conduire confortablement à plus de 10km.

Antivol dans le guidon entre deux stations et béquille pour s’arrêter

Trouver une station et vite se débarrasser de la bête ! Vérifier à l’écran que votre vélo est bien ancré.

Sonnette efficace

J’aurais au moins essayé. Réflexion faite la trottinette muscu est plus pratique sur de courts trajets

Fangouse à Lattes

J’ai sorti mon chevalet tout neuf et j’ai cherché un endroit désert pour peindre en « direct » sur le motif. Mais un samedi, c’est un jour de loisirs. Alors j’ai vu des cyclistes, des runners, des promeneurs en nombre qui regardaient tous dans ma direction le bonhomme qui peignait dans une légère bruine. J’ai cadré à la hâte dans ce vignoble envahissant. Au fond des pins parasols et le domaine de Fangouse. Au bout de deux heures avec un peu de vert olive, d’ocre jaune et de terre d’ombre, j’ai estimé que je ne pourrais pas faire mieux. Il fallait remballer.