En l’absence de neige, le bonhomme de neige est resté de glace (Berrwiller)Un tour de patelins
Je n’ai pas cherché longtemps pour trouver mon titre. Qu’on m’en excuse.
J’aime beaucoup cette vue (Hartmannswiller)
Cette fois en traversant Issenheim, j’ai surveillé mon GPS…et il s’est éteint comme les fois précédentes pour la troisième fois et c’était en face du numéro 59 de la rue de Guebwiller. Le mystère demeure. (voir mon billet du 25 novembre 22)
Ce tunnel est intéressant, il traverse la D83 à Issenheim. Anciennement on longeait le ruisseau qui a été buséJ’aime bien aussi le charme de ces constructions (sans les voitures) RaedersheimMaisons de mine à Ungersheim600 logements en construction me dit la dame avec son chien. Le chien acquiesce. Ensisheim au bord de la gravière derrière Super ULes abords sont déjà viabilisés1.5km de piste en construction Staff-WittelsheimLe fond de forme est prêt
Hier alors que je me dirigeais vers Bergholtz, je découvre que mon GPS s’est éteint tout seul.
Je le redémarre sans savoir où s’est produit cette anomalie mais je l’estime à hauteur de Issenheim rue de Soultz.
Un fois rentré à la maison, j’examine l’enregistrement…
Il m’a suffi de constater que la trace enregistrée s’est arrêtée à Issenheim à l’angle de la rue des Bosquets…et que mon GPS a tracé une belle ligne droite jusqu’à son redémarrage à Bergholtz.
Le phénomène n’est pas grave sauf qu’il fausse mon kilométrage total. Hier je l’ai estimé à 2.300 m, car le segment de droite tracé n’est pas compté par l’appareil en tant que distance.
24 novembre le GPS s’arrête rue de Soultz angle rue des Bosquets à Issenheim
Curieux phénomène
C’est alors que je me suis souvenu que mon GPS s’était déjà arrêté cet été au même endroit. J’ai recherché…et effectivement il s’est aussi arrêté le 25 juin à Issenheim presque au même endroit, c’est à dire rue de Soultz.
Est-ce une panne fortuite ou s’agit-il d’un phénomène radio local qui interfère sur le bon fonctionnement du GPS?
Je prépare quelque sorties à VTT du coté de cols vosgiens bas-rhinois
Je l’ai déjà exprimé, faire une razzia de cols à VTT nécessite de la préparation.
Je m’y attelle actuellement. Il faut d’abord recenser les cols restant à visiter avec l’outil CCWay de mon Club des Cent Cols.
un col que je n’ai pas encore visité
Voici comment la requête est restituée sur ma carto BaseCamp de Garmin.
mes cols restants à grimper dans les Vosges (67 et 88)
Les cols sont figurent sur la carte dans un cadre de la forme FR-67-0453 (qui correspond au col du Banc du Forestier) situé l’ouest de Villé. A noter qu’Openrunner répertorie aussi les cols sur sa cartographie (route ou VTT)
Col du Banc du Forestier. Je vois que mes confrères m’ont déjà précédé (image Cent Cols)
Le travail sur écran consiste ensuite à tracer un parcours reliant plusieurs cols entre eux. Il faut tenir compte de la distance et du dénivelé et faire en sorte de tenir compte de sa capacité physique « à faire ». Il est évident qu’un compétiteur pourra avaler 50 à 60km et 2 à 3000 de dénivelée dans sa journée.
Pour ma part, je deviens décroissant et je me limite à 30 à 40km et 1000 mètres sans trop m’embarrasser du type de revêtement. J’ai des amis qui exploitent les images satellites pour savoir où ils vont mettre leurs roues. Moi non. Je descends du vélo, je pousse,…je porte.
tracer sur Openrunner permet de conserver et de partager ses projets
Si mon traçage apparaît trop difficile, je dois le reconsidérer
en diminuant le nombre de cols à grimper, ce qui revient parfois à abandonner son projet s’il manque d’homogénéité
en changeant le point de départ, en éliminant un aller-retour inutile
en fractionnant l’itinéraire en deux
Suivre une trace bien préparée sur son GPS, le secret d’un voyage réussi
In fine je ne me retrouve parfois qu’avec un seul col en aller-retour.
Donc un col pas très rentable si d’aventure il est éloigné et pas facile à grimper. Mais en contrepartie on peut avoir un beau paysage à l’aller comme au retour.
Ce travail est méticuleux, d’autant que je prends soin soin de passer par des points remarquables, des stèles, des ruines moyenâgeuses,…
Je télécharge mes parcours sur GPS, préalablement déposés sur Openrunner.
Et ensuite je peux partir en connaissance de cause. Si mon GPS venait à tomber en panne, je pourrais me secourir avec mon Iphone et Openrunner en faisant des points de relèvement périodiques.
marquer un point de situation peut vous permettre de noter un point remarquable et de le communiquer si nécessaire (le drapeau bleu ici porte le numéro 28 et vous pouvez y ajouter une note)
Lorsqu’on part seul, ce qui est souvent mon cas, déposer ses parcours en un lieu connu comme Openrunner. Si par malheur il vous arrive un incident, on pourra facilement vous retrouver.
Par exemple: Vous faites une chute à l’arrêt dans un dévers de sentier suite à une faute de décalage pied et vous disparaissez dans l’abîme. Ni vu, ni connu. On retrouve parfois des vététistes plusieurs jours après leur disparition. Comme ici
Une heure au retour pour recoller les morceaux de ma montre Garmin qui ne s’exprime plus qu’en anglais.
C’est délicat ces petites bêtes de GPS.
J’ai fini par donner ma langue au chat.
J’ai cherché sur les tutos pourquoi je n’avais plus ma langue. Ce n’est qu’après avoir épuisé tous les reset du plus simple au plus brutal que je me suis rendu à l’évidence: ma montre avait profité du Nouvel An pour filer à l’anglaise.
Après la sieste, j’ai tapé sur Google:
remettre-francais-montre-garmin-bloquee-anglais
C’était mon dernier salut. Et j’ai découvert qu’un site nommé Focus comportait un article Remettre en français une montre Garmin bloquée en anglais (édition 2017)
image Focus (une seule langue au compteur)
Ainsi donc le problème ne serait pas nouveau; depuis 2017 au moins, les Garmin auraient tendance à perdre la langue française. En France, tout fout le camp.
Donc Focus m’a rappelé que sur l’appli Garmin Connect, il existe dans le champ « outils et contenu » un fichier de langues à cliquer au choix dont le Français figure en bonne place entre l’Español et le… Hrvatsky (!)
Voila qui fera bondir les inconditionnels du carnet…et qui laissera de marbre ceux qui n’enregistrent rien de leurs entraînements sportifs.
J’avais pris l’habitude de couvrir des petits carnets de notes depuis bientôt quarante ans. C’était j’en conviens une marotte dont je ne pouvais plus me passer.
Depuis le 1er janvier, terminés les carnets, je suis passé au tout numérique.
C’est à dire que mes entraînements vélo (et bientôt aussi le jogging) vont rejoindre une base de données automatique.
Pour le jogging, en attente
la paperasse d’une vie consacrée au vélo
Les fournisseurs de GPS comme Garmin ont aménagé un espace sur lequel se déversent tous vos enregistrements de balades. Non seulement les paramètres techniques (distances, dénivelées) mais aussi vos temps, calories dépensées et vitesses et bien sûr la cartographie.
J’ai quitté Sigma pour la route et j’ai rejoint Garmin pour toutes mes activitésJ’ai dit adieu à mes quarante ans de carnets. Une grosse tranche de vie.Quand je rentre, je me connecte à Garmin Connect et mon tableau de suivi est aussitôt à jourUn clic, un coup d’œil sur le tracé enregistré de la balade
Ce qui n’est pas encore enregistré, c’est le suivi d’entretien des bécanes, les chaînes en particulier. Il ne faut pas l’oublier.
Je stocke aussi certaines de mes traces sur Openrunner afin de les mettre à disposition des amateurs. J’en ai déposé 800 actuellement! Il suffit de mentionner l’auteur dans le moteur de recherche d’Openrunner: velomaxou (sans accent)
J’ai regardé d’où vient l’expression noyer le poisson. De la pêche tout simplement. Il s’agit d’épuiser le poisson pris à l’hameçon pour faciliter la prise. C’est cruel pour le poisson…et jouissif pour le pêcheur.
En politique, noyer le poisson, on sait le faire aussi; on a même des experts capables de vous noyer en deux temps, trois mouvements.
Pourtant la maman des poissons, elle est bien gentille dit Boby Lapointe.
Justement c’en est une, une maman. Le pêcheur qui me montre son brochet me dit que c’est une femelle. La femelle du brochet? c’est une brochette, j’imagine.
Bref il la remet à l’eau, et la maman brochette repart dans ses profondeurs jurant qu’on ne l’y prendrait plus.
A la ballastière d’Ensisheim, j’entame mon retourLe Grand Ballon est dans la lumièreEssai de mon nouveau compteur GPS. Il y a des plus et des moins comme toujours. Je gagne la cartographie. Coté compteur j’ai un tableau à 8 paramètres sur une seule page.Mais j’ai perdu le % de pente la cadence pédalage. Tant pis, je m’en passerai. Erreur de ma part, on me signale que la pente est disponible.J’ai donc ajouté un neuvième champ sur ma page compteur avec la pente qui est définie par Garmin comme suit …Pente : calcul de la montée (altitude) sur la distance. Par exemple, si vous gravissez 10 pieds (3 m) à chaque fois que vous parcourez 200 pieds (60 m), la pente est de 5 % (je comprends que la précision se fait sur 60 mètres linéaires minimum)
Coté restitutions, Garmin Connect fournit un beau rapport avec
La carte du parcours liseré coloré selon vitesse ou cardio ou relief
Trois profils: altitude/vitesse/cardio
C’est bien suffisant pour moi. C’est même presque du luxe.
Je sais qu’avec un sujet comme celui-là, je vais déchainer les passions.
Au nouvel An faut pas s’rater!
Je profite de la torpeur digestive d’après fêtes pour cogiter. Mon système de mesures de performances n’est pas homogène. J’ai les carnets comme vous le savez. Ceux sur lesquels j’écris depuis quarante ans. Un pour la route, un pour le VTT (depuis 10 ans) et un pour le jogging (depuis un an). Le jogging? je ne sais pas si je vais persévérer car j’ai vraiment mal aux genoux le lendemain…Les carnets ont un gros avantage sur tout le reste: le prix!
Mais j’ai aussi d’autres choses plus sophistiquées, des choses numériques, comme on dit.
Garmin Map62S pour le VTT
Sigma Data Center pour enregistrer mes résultats routiers
Openrunner pour publier mes traces VTT, route et marche occasionnellement
Mi Fit pour enregistrer mon jogging
Tout ça n’est pas très homogène, il est vrai.
Je vais passer au tout Garmin. Au fur et à mesure, avec la plate forme Garmin Connect qui me restituera un tableau de bord. Ne me parlez pas de Strava, je l’ai en horreur.
Je serais bien tenté par une montre Garmin connectée pour le jogging, mais vu le prix, j’hésite…
Garmin Edge Touring Plus pour la route
Pas de dépenses somptuaires!
je n’ai pas besoin de choses trop sophistiquées. J’attends un GPS d’occasion acheté sur le Bon Coin pour la route un Edge Touring Plus…et qui viendra remplacer mon compteur Rox 8.1 (adieu Sigma, je t’aimais bien)
Mon GPS, un truc fabuleux dont je ne saurais me passer
C’est bien fait si ton Garmin a pris l’eau. Tu n’as plus qu’à en racheter un.
Bon, sans mon GPS, je suis mal. C’est comme si on enlevait un jouet à son môme. Donc il a pris l’eau mardi quand j’ai roulé sous la pluie. Inutilisable puisque quand je l’allume un brouillard se forme derrière la vitre. Et le prix d’un joujou comme celui-ci tourne autour de 350 euros.
Il a quelques années de maltraitance, je l’avoue. La dernière fois, il s’est détaché du guidon et est entré entre la roue et le garde-boue du VTT et l’opération d’abrasion a été redoutable.
Alors, c’est décidé, j’opère. A vif. Après avoir ôté les batteries, j’ouvre. Des micro-vis à tête Torx. Et après, j’expertise. Oui, il y a de la flotte. Le sèche-cheveux est là pour évacuer l’eau. Et après avec un monocle d’horloger, j’observe le circuit imprimé…des points de corrosion sont apparents.
Je prends un pulvérisateur, je remouille et le balaie avec un pinceau…la corrosion s’en va. Puis je sèche à nouveau. Ensuite, la boue qui s’est propagée au fil du temps par les joints. Même opération. Avec de l’eau pulvérisée, j’évacue la boue au pinceau et je sèche.
C’est propre.
Je remonte délicatement, je monte les batteries…ça marche.
Ça m’embête presque, je croyais pouvoir justifier l’achat d’un GPS neuf en version 64 Sx avec Bluetooth intégré. Il va falloir attendre.
Chez Monsieur Garmin, comme dit Charles, la protection est IPX7 sur ce modèle, mais il faut vérifier que le cache-prise à l’arrière est correctement fermé, ainsi que le couvercle à batteries
IPX7 qui disent chez Garmin…quand c’est neufça marche à nouveau
Il n’y a aucune raison de changer un produit qui donne satisfaction. Juste le ménager à l’avenir lorsqu’il pleut.
J’en connais ici sur ce blog qui ne s’embarrassent pas d’un tel accessoire.
Ils vont à leur train, je veux dire à la vitesse qui leur convient et s’arrêtent quand ils sont fatigués. Combien de kilomètres parcourus? ils s’en foutent et ils ont raison.
Moi non!
Je suis de ceux qui emmagasinent. J’ai l’œil rivé sur le compteur. Je ne sais pas rouler sans. Une angoisse m’étreint. Je suis un éternel angoissé, on le sait. Vais-je faire assez de kilomètres? assez vite? avec assez de grimpées?
C’est dans ma nature, j’ai été élevé comme ça. J’ai toujours eu la crainte de manquer; alors j’accumule les carnets de route depuis 1976. Oui, c’est vrai, c’est une litanie, mes carnets de route. Comme pour me prouver à moi-même que j’ai fait tout ça. Une suffisance narcissique.
Bon alors, Maxou, tu en viens au fait!…
Au fait je ne sais pas. J’ai relu mon billet compteur ou GPS vélo? de 2017 et je n’arrive pas à me décider à passer au GPS route. Je suis là planté au milieu du gué, (de la route), sans savoir lequel prendre.
Mon dilemme est le suivant…
D’abord le prix, je veux rester en-dessous de 200 euros. Pourquoi pas prendre de l’occase sur le Bon Coin ou Facebook Market?…
J’ai du Sigma en Rox 8.1 pour la route, donc sans GPS, qui marche très bien avec une interface d’administration sympa
tableau de bord Sigma
Par ailleurs en VTT, je suis en GPS Garmin et une interface carto Base Camp.
J’hésite donc entre garder Sigma pour la route avec le Rox 11 ou passer dans la galaxie Garmin avec les Edge.
Rox 11 de Sigma, discret mais sans affichage carteJe me contenterais d’un Garmin Edge Touring Plus abordable en prix si je choisis d’abandonner Sigma
GPS de randonnée à VTT. En montagne, mieux vaut le rende imperdable. Le Club des Cent Cols a une préférence pour ce modèle de Garmin qui résiste aux chocs et à la pluie.
Perdre son GPS à VTT, cela m’est déjà arrivé une fois.
Il suffit qu’il se déboite de son support dans une descente trépidante.
Attention, cet article est dédié aux nuls. Comme moi!
Avec la montée en gamme des objets connectés, les cyclos se trouvent dans l’embarras lorsqu’il s’agit de renouveler leur matériel de comptage.
Face aux compteurs classiques, on trouve à présent des compteurs équipés de fonctions GPS fort alléchantes puisqu’elles permettent à la fois de programmer le parcours route ou VTT et/ou de l’enregistrer afin de le visualiser au retour. Continuer à lire … « Nos vélos doivent-ils être connectés? »