
Je revisite mes voyages bretons. Le temps est à la pluie depuis plusieurs jours. Rothéneuf entre Saint-Malo et Cancale. Des végétaux qui rappellent la Méditerranée.

Je revisite mes voyages bretons. Le temps est à la pluie depuis plusieurs jours. Rothéneuf entre Saint-Malo et Cancale. Des végétaux qui rappellent la Méditerranée.
#beatyesterday #garmin
Je n’avais guère le choix de mon heure se sortie car la pluie sera durable. Je suis content malgré tout car j’ai fait un score de 6’37 » au kilomètre. Un des meilleurs.
Certes il y a des flaques en ville pas facile à éviter, mais c’est acceptable. Je rentre trempé par la transpiration sous mon imperméable.

C’est devenu un sujet de société, les vieux sont devenus embarrassants.
Outre d’emmerder les automobilistes sur les routes avec leurs vélos, les vieux sont montrés du doigt partout dans les actes quotidiens de la société active.
D’abord ce sont eux les premiers à faire la queue devant les labos le matin privant ainsi ceux qui travaillent d’arriver à l’heure au boulot, ensuite ils font chier le monde à l’Intermarché et au Leclerc le samedi et enfin ils s’arrêtent avant de franchir les ronds-points avec leur bagnole au lieu de les traverser sans lever le pied.
Cette prolifération des vieux devient insupportable dans notre société trash. Des vrais cloportes! A force de faire des progrès, la médecine ne rend plus service au commun des mortels.
Selon l’INSEE au 1er janvier 2019, 13,4 millions de personnes résidant en France ont 65 ans ou plus, soit 20 % de la population. Cette proportion a progressé de 4 points en 20 ans et place la France au niveau de la moyenne de l’Union européenne.
En plus les jeunes vieux ont la prétention de vivre comme les actifs, avec les mêmes envies de consommation. Des vélos carbone super allégés, des vacances aux Maldives et des SUV diesel survitaminés.
Des thunes en trop? voila qu’on se demande si les vieux ne vivent pas trop bien!

Avec 1/4 du PIB, le vieux coûte de plus en plus cher à la collectivité nationale.
Il est fini le temps où Mimile entretenait le feu à l’âtre et finissait par tomber dans le foyer, son heure venue. Maintenant Gertrude veut un Ehpad douillet et sans maltraitance qui coûte un pognon de dingue.
A vélo, certains bagnoleux suggèrent dans TikTok d’ouvrir la portière en les dépassant. En douce. Ca les apprendra à prendre la piste pourrie qui longe les platanes.
Mais d’autres plus ambitieux ont des solutions plus radicales: tout simplement leur ôter le droit de vote puisqu’il est insupportable que les vieux pèsent sur les orientations politiques à venir qu’ils ne verront pas.
Le Pen, vite!
« Les jeunes qui ont voté en masse Mélenchon pour leur avenir se font voler leur élection par des vieux retraités qui ont vécu leur meilleure vie et n’ont plus rien à perdre et des vieux bourgeois qui ont tous les privilèges de Macron » (un jeune sur France Info)
« Ce sont donc des vieux déjà à la retraite qui vont nous imposer de travailler cinq ans de plus. Merci à eux. »
Ainsi le programme du Rassemblement National serait d’abord celui qui recueille le plus de suffrages parmi la population âgée. Pas évident! Et pas seulement, car les employés, les ouvriers et le monde agricole sont aussi sensibles aux idées du RN.
Selon Slate.fr Les électeurs du RN sont souvent associés à des préoccupations telles que l’immigration, la sécurité, l’identité nationale et la mondialisation3.
Cela dit, l’élection de Marine Le Pen en tête des sondages actuellement sera t-elle de nature à contenter le racisme anti-vieux qui s’ajoute aux nombreuses fractures de la société? J’ai des doutes.
A ce sujet la vieille Europe aura peu d’alternatives: soit repousser les forces vives immigratoires et mourir à petit feu comme les Japonais ou accepter de se repeupler à l’aide des pays voisins du Maghreb et subsahariens.
L’idée fait son chemin que les vieux se préoccupent davantage de leur sécurité et de l’immigration plutôt que du réchauffement climatique.
« Pour les plus âgés, développe le politologue Martial Foucault dans La Croix, les enjeux sont d’abord le pouvoir d’achat, l’insécurité ou encore la délinquance, avant d’être la lutte contre le réchauffement climatique, qui est davantage une priorité pour les jeunes ».
Les thunes du vieux
Plus t’es vieux, plus t’es riche!
Pouvoir épargner quand d’autres sont au RSA, c’est insupportable à entendre. Pas pour tout le monde.
Selon l’Insee, environ 6,5 millions de personnes disposent d’un niveau de vie supérieur à 3 306 euros par mois

Emprunter à plus de 70 ans pour s’acheter un vélo électrique?
Les banques peuvent hésiter à prêter au-delà d’un certain âge, car plus l’emprunteur vieillit, plus les risques que prend la banque sont importants.
L’âge moyen de décès en France est d’environ 83 ans.
Bon , je sors tout de suite avant qu’il ne soit trop tard.

J’adore passer sous ce pont qui surplombe l’ancienne ligne de chemin de fer à Fresse-sur-Moselle.
J’imagine le labeur des anciens creusant dans la roche et dont les cyclistes profitent aujourd’hui.

J’étais trop fatigué pour écrire en rentrant de ma balade de ce mercredi. C’est la fin de l’année et les derniers kilomètres grapillés sont plus difficiles.
J’ai croisé de nombreux cyclistes dont Jean qui m’a lancé « salut Max ». Certains en groupes. Des inconnus, car ils ne sont plus de mon âge. Je ne savais pas qu’il pourrait y avoir aussi du monde à vélo le mercredi car je suis habitué aux mardis et aux jeudis.
Voyant le temps clément, j’ai bien choisi mon jour car ce matin il pleut et la fin de l’année s’annonce identique.
Je commence à regarder mon bilan sportif de l’année.

4300 kilomètres dont 400 de course à pied. J’en suis assez satisfait. D’autant que mon cyclo-camping de septembre me « rapportera » 800 km.
Cependant je suis en retrait de 1000 km par rapport à 2022.

J’ai erré vent de travers jusqu’à la gravière.
Les wingsurfeurs se préparent à décoller. Je ne sais pas vers où me diriger. Le mauvais temps m’incite à la paresse. Je traîne à travers Cernay, puis je grimpe jusqu’à la chapelle Sant-Morand.
Au retour, mon parcours ressemble à une marmotte qui fume un joint.
Je vais hiberner.


Si t’as pas un VAE à trente ans, t’as raté ta vie!
La question ne se pose plus de savoir si l’on est pour ou contre le VAE puisque l’évolution se fait naturellement en faveur du VAE.
L’électricité est une Fée comme sur cette image ci-dessus construite à ma demande par Microsoft .
Le VAE, c’est le Vélo à Assistance Electrique. Il rencontre un succès fou. Au point même que les organisations cyclistes se posent la question de savoir s’il faut l’accepter dans ses rangs moyennant quelques arrangements.
Pour la grande fédé française qu’est la FFVélo, c’est fait. Tous les possesseurs de vélo à assistance sont acceptés après que l’usage ait été subordonné dans un premier temps à une restriction médicale.
Aujourd’hui plus de réserves!
A la dernière Semaine Fédérale de Pont-à-Mousson, près de la moitié des participants étaient à VAE.
On comprend pourquoi, les vélos électriques prolongent l’exercice physique de cyclistes qui atteignent souvent plus de soixante dix ans et en plus la machine est étonnamment attrayante par ses performances et aussi par son prix abordable. On ne peut donc que souscrire à cet artifice qui vous rend vos vingt ans. Là où l’exercice devient discutable, c’est quand les parents achètent vélos et trottinettes électriques à leurs enfants.
La discussion au Club des Cent Cols (membre de la FFVélo)revient à l’ordre du jour. Faut-il faire une entorse au règlement qui stipule que les cols ne peuvent être franchis à vélo qu’à l’aide de la force musculaire?
Je suis prêt à parier qu’une faille va s’ouvrir car parmi les membres de l’association nombreux sont déjà ceux qui possèdent la machine de leurs rêves.
En dehors des clubs, la cause est entendue, le vélo à assistance électrique est devenu légion avec des publics divers et souvent de nouveaux adeptes venus au vélo par facilité pour aller au travail, faire ses courses ou tout simplement se balader.
En 2022, 28% des vélos neufs sont à assistance mais ils représentent la moitié du chiffre d’affaires du secteur.


Je suis parti d’un sujet réel. J’arrive à une composition à force de tout changer. J’ai reconstruit mon paysage à mon goût. L’huile s’y prête volontiers.
Je reprends mon tableau. Ce qui est satisfaisant un jour ne l’est plus le lendemain. Je ne sais pas si les peintres éprouvent ce sentiment. Au départ je suis parti d’une photographie cadrée par moi-même.
Puis je me suis rendu compte que beaucoup de choses me dérangeaient. Des maisons diffuses dans l’arrière plan. J’en au supprimé une et j’ai atténué le blanc des autres et le bleu des toitures.
J’y ai apporté de l’eau et des bateaux.
J’ai ajouté une cabane de douanier à l’avant. Mais mon personnage est encore un peu grand.
Puis j’ai ajouté deux bateaux, rendu la mer moins étale, construit une balustrade le long du chemin et des jalons renforçant la perspective. Et enfin j’ai apporté un peu de volume aux arbres en avant-plan en contrebas de la falaise.
Pour mémoire ce tableau de Plougasnou (50×40), c’était ça à l’origine


J’en rencontre parfois des runners de nuit. Certains courent sur les hauteurs du vignoble. On a bien des veilleurs de nuit, pourquoi pas des coureurs.
Ado, j’ai fait l’expérience de pompiste de nuit. Je remplaçais un type à qui on avait dévalisé sa caisse et qui était à l’hôpital. Pour me donner des forces, je portais un poignard à la ceinture. Dès deux heures du matin, je tombais de sommeil et je m’assoupissais sur le bureau, attendant un hypothétique client. Aujourd’hui les pompes sont automatiques.
Ce soir j’ai attendu la nuit pour courir, alors que la journée a pourtant été belle. Se décider tard vient combler un regret, celui d’avoir fait autre chose que le sport et ensuite le regretter. Je voulais essayer les glacis sur mes peintures, un truc qui permet d’ajouter une couche de couleur transparente avec un médium spécialisé.

Ensuite je pense à courir alors qu’il est déjà 18 heures. C’est un prétexte pour essayer ma lampe frontale. Je vais longer le nouveau barreau de Vieux-Thann puis la rivière avant de revenir dans les rues du village qui sont éclairées.
La course de nuit, comme le vélo, demande un bon éclairage pour voir les obstacles et aussi un bon dispositif rétro fléchissant pour être vu. Je suis au top au point que les voitures ralentissent. Je dois être confondu avec la police.
Se méfier. La nuit, on y rencontre parfois un monde interlope, des promeneurs de chiens sans lumière, des cyclistes, des promeneurs et des animaux errants, hérissons, sangliers,…

Les puristes de course à pied se demandent quelle est la meilleure façon de relever sa courbe cardiovasculaire.
La montre poignet suffit-elle ou bien une ceinture thoracique est-elle plus précise?
On lit sur les forums d’échanges que la ceinture est plus précise.
D’autres ne s’embarrassent pas: ils courent sans aucune mesure. En ce qui me concerne, je fais gaffe, car j’ai une faible marge de manœuvre due à l’âge.
Ce matin j’ai donc porté les deux systèmes pour comparer sur mon tour de dimanche qui fait 5 kilomètres


Les deux graphes sont comparables mais la montre-poignet monte plus vite dans les tours au départ pendant les 4 premières minutes.
Quelle est la bonne mesure ?
Je ne sais pas le dire. La différence est tout de même de 6 pulsations à la minute. La montre poignet donnerait un résultat minoré de 5 % (par rapport à la ceinture thoracique)
Ce qui peut induire la différence c’est que je coupe l’enregistrement du poignet aux attentes de traversées de route.
Et avec un zoom?
rien de bien probant, les deux enregistrements se ressemblent.


Conclusion
Je ne conclus rien car la différence n’est pas marquée entre les deux systèmes de mesures. Seul un spécialiste de la chose pourrait peut-être conclure autrement.

Je tente de peindre un cheval. Pas facile d’éviter l’âne! Je crois que c’est un alezan.

Je ne voudrais pas terminer décembre sans rouler un peu. Il faut profiter du temps sec. Je vais donc à la Seigneurie. Je n’ai pas vu Monseigneur, ni sa pince à serrer.
En commençant par monter le Soultzbach à Soppe, je suis déjà sur la défensive. Une petite mise en danseuse quand soudain un randonneur me fait salut et me dépasse. Je ne suis pas piqué au vif, d’autant que le collègue tire gros. Mais tout de même, il a l’air fébrile à force de l’observer devant.
Je le laisse aller. Soppe-le-Haut, Mortzwiller, il reste à ma portée soit une vingtaine de mètres. Je me demande comment va se passer la grimpée que je sais casse-patte après Mortzwiller. Après la grande courbe, ligne droite et à ma grande surprise, je suis dans sa roue. C’est toujours désagréable pour celui qui est passé devant en toute bonne foi et qui se fait remonter.
C’est cruel de parler de cette façon. Un autre jour, je me suis fait doubler et le type a disparu sans que je puisse réagir. Celui d’aujourd’hui semblait être un tafeur avec un petit sac à dos et s’il rentrait du boulot ou s’il s’y rendait, je luis dois tout mon respect.
Sur la route de le Seigneurie, j’ai filé à 28/30. Au lac, je l’ai vu passer vers Petitefontaine sans un signe. Une forme de dépit sans doute vis à vis de ma conduite futile.
Au retour, le froid a commencé à me chatouiller le bout des doigts.
Toutes ces expressions que j’ai soulignées en italiques sont celles du milieu cycliste auquel j’appartiens. C’est du jargon. Mais il y en a bien d’autres plus audacieuses comme celles ci-après proposées par Bing de Microsoft


L’appui talon est décrié. Je m’en fous, je cours quand même.
Je ne suis as un esthète de la course à pied et je me doute que je cours en appui talon, c’est à dire en frappant le sol avec les talons en premier.
C’est déconseillé car ça secoue le squelette et déglingue les articulations.
Après, le marché de la godasse s’est adapté et vend des pompes super souples pour mieux taper par terre.
Ce qui est préconisé c’est l’appui dit en plante des pieds.
il faut simplement avoir l’intention d’amortir en premier lieu avec l’avant du pied (et non pas avec le talon).
Oui bien sûr. Mais moi je vois tout de suite la complication car pour arriver pointe du pied fléchie vers le sol, je dois sauter plus haut. Ne riez pas, contrairement au marcheur, le coureur a une phase « en l’air », c’est à dire qu’il saute. Si je ne saute pas assez haut mon pied incliné vers le sol va raccrocher et je vais m’étaler. Alors qu’en arrivant au sol pointe du pied levé je ne raccroche pas.

Etrennes, combien donner et à qui?
Les Etrennes, prime ou gratification de fin d’année, données aux serviteurs publics sont une tradition.
Mais cette tradition a tendance à se perdre dans les rouages de nos modes de vie moderne qui font que lorsqu’ils passent dans la rue, facteurs, éboueurs, pompiers, personne n’est chez soi. Certains diront que c’est une bonne façon de s’exonérer de verser son obole.
Les pompiers avaient toutefois la faculté de passer le soir avec leur calendrier. Le Covid a rendu cette pratique rare, d’autant que beaucoup n’ouvrent plus leur porte de crainte de tomber sur un malfrat ou un escroc.
Les petites gens, dont de nombreux retraités, n’ont pas beaucoup d’argent et craignent les égrefins qui vous embobinent et dévalisent votre maison en douce.
Le calendrier est-il encore utile?
Le calendrier est l’occasion d’une rencontre avec des employés qu’on voit de moins en moins souvent comme les facteurs. Et les pompiers, on préfère ne pas avoir affaire à eux. On ne sait plus quoi faire de ces modestes présents. Celui des pompiers dans le garage, celui du facteur dans la cuisine, alors que celui de l’Iphone est bien plus parlant. Il paraitrait que certains calendriers soient des faux portés par des pseudos pompiers ou facteurs!
Le facteur ne sonne plus trois fois
Pour le facteur, l’affaire est entendue, je ne donne plus rien. Le service rendu est devenu invisible avec la dématérialisation des plis, des factures et des PV (pas tos) et le préposé contractuel file à toute allure sur son triporteur Staby
Pour les ripeurs, anciennement éboueurs, c’est l’enveloppe en réponse à la petite carte de vœux déposée dans ma boite à lettres et j’attends le passage du camion. Je l’entends venir depuis le bout de la rue. Ils me connaissent car je suis le seul retraité du quartier. Ils ont de l’attention pour moi, ils rangent délicatement mes bacs à leur place. Je trouve ce métier sur voie publique difficile et dangereux. Je dirais même ingrat. Je le respecte.
Pompiers, la procédure de collecte
Avec les pompiers, c’est différent. Le calendrier est devenu une institution. Il remplace celui des postiers. Le trombinoscope est à leur avantage. La plupart sont des bénévoles et ils font honneur à leur corps dans des uniformes impeccables.
Evidemment parler de procédure de collecte en matière de dons n’est pas très élégant. Ce n’est pas automatique comme on pourrait le croire, il faut aussi recueillir notre adhésion au principe. Or les principes civiques se perdent.
En plus le calendrier du pompier peut servir d’agenda et permet de savoir quand les vacances scolaires ont lieu.

Ils sont modernes les pompiers de Thann, ils ne font plus du porte à porte, ils déposent le calendrier dans la boite avec un papillon appelant aux dons soit dans des urnes déposées chez les commerçants soit via HelloAsso pour les dons en ligne.
Je ne sais pas si cette formule de collecte est plus « payante » mais on perd l’occasion de les rencontrer au moins une fois.
Combien donner?
Il n’est pas facile de dire combien coûte un remerciement. Il a plus ou moins de valeur selon les cas, selon le service, selon l’impression donnée, l’attention, l’amabilité reçue, voire la sympathie engendrée. A contrario, on peut avoir de mauvais souvenirs qui dégradent la valeur du don.
Un facteur disait, dans le passé, réunir un mois de salaire avec les dons collectés mais il devait acheter ses calendriers.
Un don commence autour de 5 euros…jusqu’à 8 euros pour le postier.
Pour les éboueurs, le don tourne autour de 10 euros. Ils sont souvent trois avec le chauffeur qui est chef de bord. Personnellement je donne davantage.
Pour les pompiers, c’est entre 5 et 10 euros. Les pompiers le disent eux-mêmes: « le don est un moteur essentiel de notre vie fraternelle ». Sous entendu, le don sert à organiser des voyages ou des festivités internes. Ils le méritent bien. A cela s’ajoute la bienveillance sonnante de la collectivité reconnaissante.
(les montants mentionnés sont ceux constatés par l’IA Bing de Microsoft)
Les concierges aussi
Il existe aussi dans certaines copropriétés des gardiens ou des concierges à qui l’on donne des étrennes. Le don est coordonné avec le niveau et la qualité du service rendu. Il est d’usage de donner entre 4 et 8% du loyer mensuel soit entre 40 et 80 euros pour un loyer de mille euros.

J’avais mon électrocardiogramme aujourd’hui. J’en ai profité pour demander à mon cardiologue ce qu’il pensait de mon enregistrement de course à pied lundi dernier où j’ai « carburé » à une moyenne de 140.
Selon lui c’est normal, la course à pied « consomme » plus de pulsations qu’à vélo entre 15 à 25%.
Cela dit, le médecin m’a rappelé un principe, ne pas dépasser 150 pulsations avec mon vieux diesel, c’est à dire 220 moins mon âge .

je rêve.
21 grammes de CO2 au km, c’est l’empreinte carbone du vélo. Ces 21 grammes correspondent non pas à l’énergie du cycliste qui pédale (et qui est de zéro), mais à celle nécessaire à la construction du vélo depuis l’extraction des matériaux jusqu’au façonnage à l’usinage et à l’assemblage des pièces.
le vélo champion toutes catégories pour la suppression de l’empreinte carbone

rien ne sert de pédaler, il faut partir à point
La COP28 (Dubaï 2023) a bon dos. Réduire massivement nos énergies fossiles (génératrice de CO2 qui réchauffe la planète) n’est pas pour demain ni après demain. Pour se persuader que notre monde n’est pas prêt à changer, il faut avoir en tête quelques notions de grandeurs.
comme on peut s’en apercevoir, le monde est dominé par le pétrole, le gaz et le charbon.
Et ce n’est pas seulement nos voitures, les avions et les bateaux qui dépendent majoritairement du pétrole (59%) mais aussi tous les produits utilisés par nos sociétés modernes. Lesquels?
pourquoi ne pas le dire?
Les politiques ont honte: ils n’osent pas dire les conséquences de la disparition des énergies fossiles. A telle enseigne que ceux des politiques qui savent préfèrent aller dans le sens des électeurs et promouvoir des causes résolument réactionnaires comme on le voit un peu partout dans le monde.
Ce constat a un mérite, il permet de prendre conscience que réduire nos consommations de pétrole entraînera obligatoirement une grave remise en cause de nos niveaux de vie dans les pays développés et de nos modes de consommation. Ne l’oublions pas, moins de pétrole c’est moins de production industrielle, moins de machines et…moins d’emplois.
on sent déjà poindre en Europe une levée populiste des partis politiques; qui est prêt à se passer de sa bagnole dès lors qu’il habite en zone rurale?
il est illusoire à court terme, moins de vingt ans, de remplacer 40 millions d’automobiles thermiques par de l’électricité. Il faudra bien repenser notre relation entre ceux du rural et ceux de l’urbain ( en France, contrairement à d’autres pays européens, la dispersion des populations dites « périphériques » est plus marquée) et refonder un monde rural sans transports comme cela pouvait l’être au milieu du vingtième siècle tout en redécouvrant une autosuffisance de nos moyens et de nos besoins.

Pas d’histoire. J’ai pris mes pompes à mon cou et je suis parti gambader. A la cathédrale je ne trouve pas la sortie. Le portail est fermé. Un petit contretemps non prévu.




Aujourd’hui 16h30, je me lève
Ce matin course à pied 1.5 km (9’54 ») pour aller au garage récupérer ma voiture. Cet après-midi 11 km VTT sous la pluie. Je lave mon vélo au jet. Je suis fatigué. Je me couche, ma sieste de septuagénaire m’a manqué car je suis parti aussitôt après le repas.
J’ai faim. Bizarre, j’ai pourtant bien déjeuné.
La machine à baffes se met en marche:
Je ne sais plus quoi attraper dans le buffet, ma faim est sans fin
Je fais du vélo depuis plusieurs décennies.
Et depuis peu, j’y ai ajouté la course à pied grâce au Covid et aux imbéciles qui nous ont enfermés dans un rond d’un kilomètre. Comme quoi ils n’avaient pas tort sur toute la ligne.
Au risque de décevoir ceux qui s’investissent dans le sport pour perdre du poids, je vous le confirme, le sport ne m’a jamais fait maigrir.
Je ne dis pas que c’est une vérité universelle, cependant j’ai connu des cyclos obèses: ils n’ont jamais perdu de poids…
Je suis démocrate, je vous propose cette vidéo YouTube qui prétend tout le contraire de moi
Reconnaissons le, notre poids est à l’image de notre mode de vie.
Revenons à des choses simples mais pas forcément simplistes.
D’abord l’IMC, l’Indice de Masse Corporelle qui est le juge de paix en matière de poids et de surpoids.

Pas d’affolement, notre société génère des individus en surpoids. C’est devenu la norme des pays développés en Europe et comme aux Etats-Unis, l’obésité gagne.
Personnellement, je traine un surpoids permanent avec un IMC de 27.7. et ce n’est pas mes 4 à 5000 km de vélo chaque année et mes 300 km de course à pied qui changent la donne.
Si le sport consomme de l’énergie, il faut bien la compenser par des calories. j’ai besoin de 2000 kcal par jour sinon j’ai faim et je ne serai pas bien dans mon sport. Attention du sport sans manger à sa faim peut vous conduire à l’hypoglycémie et à un malaise car le corps a besoin de glucose pour produire son effort.
Le seule variable pour perdre du poids est donc le contenu de votre assiette (et de votre verre), et rien d’autre.
Je ne vais pas vous parler de régime nutritionnel, il en existe des centaines sur la toile dont beaucoup sont efficaces. Le plus difficile une fois un résultat atteint de quelques kilos perdus, c’est de ne pas les reprendre. Or les mauvaises habitudes reviennent souvent au galop tellement on s’est imposé de contraintes.
En 2014, j’écrivais « les médecins vont me maudire puisqu’ils disent tous que faire du vélo c’est bien pour la forme ».
Et j’ajoutais « il entretient votre forme, votre capital musculaire, cardiaque et respiratoire, vous préserve du diabète et il vous empêche de (re)prendre du poids. C’est déjà bien pour vous et la sécu! »
Ce n’est déjà pas si mal.
Cependant, le vélo ne m’a jamais fait perdre du poids et je suis toujours resté dans la case Surpoids de l’IMC avec un tour de taille avoisinant un mètre.
Un bref calcul m’a fait comprendre que pour atteindre un IMC normal de 25, je devrais perdre 8 kg…et donc avoir un ventre creux.
Régime, oui mais…
En 2018, j’avais mené un régime minceur avec Yazio qui avait réussi au prix d’une comptabilité étroite et calorique de tous les mets à chaque repas. Se lever de table, rechercher l’indice calorique des produits, peser l’assiette, puis recommencer à chaque plat. Et en cas de faim entre les repas se remplir le bide d’eau. Pas facile à accepter pour les prostates délicates.
Au bout d’un an, on craque fatalement. En cause notre métabolisme de base qui règle notre fonctionnement chimique interne et aussi notre mode de vie, nos habitudes alimentaires, nos joies, nos stress qui déterminent une part de nos besoins compulsifs. En résumé notre univers culturel.
Sport assis ou sport debout?
Certes le vélo est un sport assis qui malmène moins votre squelette et vos articulations que la course à pied où à chaque foulée, votre pied doit encaisser l’ensemble de votre poids plus l’accélération due à la course.
Je ne vais pas achever de vous décourager si vous êtes comme moi. Je fais « mon vélo » et « ma course à pied » comme je l’entends malgré mes 72 ans en continuant de rêver au jour où j’aurai un corps de gazelle capable d’enchaîner un décathlon.
Cela dit faire gaffe à nos réflexes à vélo qui sont moindres et aussi aux chutes qui surviennent plus facilement. J’avoue être mal à l’aise en course à pied sur les terrains accidentés, je préfère le goudron. Surtout après mes deux entorses.
L’arthrose
Un dernier mot sur l’arthrose dont je soufre à chaque genou. Je fais trente à quarante minutes de course à pied une à deux fois par semaine en plus du vélo. Evidemment, le lendemain j’ai mal. Mais c’est variable. J’ai mal en particulier après être resté debout immobile devant mon chevalet à peindre. C’est étonnant. Cela dit j’ai bien conscience d’avoir un capital musculaire qui m’aide à 70 ans passé. C’est pourquoi il faut l’entretenir.
Pour aller plus loin

J’ai croisé un groupe de marcheurs au bout du chemin de la chapelle.

Les marcheurs sont connaisseurs, dès qu’approche un VTT, ils ont l’œil rivé sur le pédalier. Non, pas d’aide électrique. Pas encore.

Vu que la pluie s’est mise à redoubler d’intensité, je n’ai pas insisté.


C’est difficile de prendre parti sur le rendu d’un sable découvert à la fois jaune et gris qui ondule sous l’effet d’une marée. Et ces rochers qui se marient avec le ton des algues! et ces poches où l’eau est emprisonnée!
Je revisite mes peintures comme à vélo on retourne sur les lieux qu’on aimés. Mais si à vélo, seule l’attention compte, en peinture il faut faire appel à son regard critique, puis à sa dextérité dans l’exercice du medium.
Ainsi ce qu’on trouve abouti le mois dernier ne l’est plus le mois suivant. Les grands peintres flamands ou florentins l’ont vraisemblablement expérimenté puisqu’on retrouve parfois sous la dernière couche des personnages recouverts.
Faire son autocritique n’est pas facile.
Cet avant plan conduit-il naturellement le regard à l’arrière plan? ce sujet était-il pertinent? mes couleurs sont-elles acceptables à l’œil?
Ma principale difficulté est d’adopter la bonne teinte et le bon ton. Car l’univers nous propose souvent un spectre de couleurs voisines ou qui se réfléchissent.
Bref, la peinture est une découverte sans cesse renouvelée.

Ce matin moins 6°C. J’ai hésité sur les trottoirs verglacés. Mais tout s’est bien passé, sans chute. Je me suis arrêté là où c’était plus délicat.



Sur cette route pourtant réservée aux cyclistes et riverains (les exploitants agricoles et forestiers, je présume, puisqu’il n’y a pas de maison sauf celle du moulin), on rencontre cependant de plus en plus de voitures. Des gens qui évitent la 4 voies. Dans quel but? je ne sais pas.

C’est dans la presse locale de ce matin (DNA 02/12), le col du Hundsrück ne devrait plus être fermé dorénavant coté Bitschwiller. Il sera donc déneigé. Les cyclistes pourront continuer à pratiquer l’ascension de la route Joffre par les deux versants (avec des pneus neige!)

J’avoue ne pas comprendre la relation entre le col de Bussang et celui du Hundsrück. Imagine t-on dévier les bouchons de la Thur vers la Doller?

Les blogs ne font plus recette!

Mon confrère et ami Pierre Brunner spécialisé dans la rando pédestre le regrette, lui qui se dévoue tant pour produire d’excellents récits de randonnée autour des vallées de la Lauch, de la Doller et de la Thur. Des récits abondamment illustrés et documentés sur son blog LTD Rando 68.
Selon lui, les blogs ne font plus recette, concurrencés par de nouveaux moyens audio-visuels tels que YouTube ou par des sites qui s’appuient sur des ressources publicitaires.
Parler de recette est abusif. Nos blogs ne nous rapportent rien. Seulement la satisfaction de nos visiteurs et notre fierté de communiquer notre passion pour la nature et dans mon cas, en outre, évoquer les mobilités douces.
Mon audience enregistre bon, mal an autour de 70.000 visiteurs. En revanche le nombre d’articles vus par chaque visiteur tente à décliner. Cette année 1.38 article par visiteur à comparer à 2.26 articles en 2018.
Mais il est vrai que j’ai produit cette année là en 2018 619 articles et seulement 416 en ce début décembre. 2023 n’est pas encore terminé, j’ai donc un joker pour mieux faire.
Mon audience en 2016 pour mémoire
Où sont mes lecteurs en 2023?

Aujourd’hui, les cyclistes étaient conviés par la municipalité de Vieux-Thann.
Rendez-vous donné route de Cernay parking de l’aire de jeux.
Objet: amélioration de l’infrastructure cyclable

Rappelons que cet itinéraire tient lieu de Voie Verte dans la traversée de Vieux-Thann
J’avais ma petite idée sur la question vu que dans cette rue la circulation des vélos est partagée (sans contrainte, panneau bleu C113) dans les deux sens avec les piétons sur le trottoir. Une situation complètement inadaptée depuis au moins 25 ans que je la pratique et vu le flux de cyclistes croissants d’année en année et les nombreux conflits avec les automobilistes. Les angles de trottoir sont terribles pour nos pneus et la traversée du carrefour de la rue José Hielmann (ZI) oblige à faire un chapeau de gendarme très incommode avec son vélo. En outre à hauteur de l’établissement Bloom (restaurant au débouché du chemin du Zuhren), il faut quitter le trottoir puis le reprendre. L’élue en charge de la sécurité fait observer aussi que nombreux sont les cyclistes sortant de la Voie Verte venant de Cernay qui prennent le trottoir à contre-sens. J’ai suggéré qu’on les verbalise. Ce sont des dangers publics. Il reste que les ralentisseurs sont un vrai problème pour les vélos, j’ai fait observer qu’avec une voie centrale banalisée, fatalement les gens vont rouler moins vite du fait de la présence des vélos. En principe. Les ilots centraux sont appelés à demeurer et les voitures à patienter derrière nous.

La route de Cernay depuis le pont de la Thur jusqu’au changement de ban ave Steinbach soit 1 km
Les représentants de la ville ont proposé d’abandonner la circulation sur trottoir et de faire une chaussée à voie centrale banalisée ( CVCB) partagée pour les autos avec deux bandes cyclables de part et d’autre, ce qu’on appelle aussi une Chaucidou pour chaussée à circulation douce. C’est la solution la moins chère et la plus efficace pour encourager les mobilités douces.
J’applaudis des deux mains (avec une seule main c’est plus difficile).
Le CADRes Thur-Doller est moins enthousiaste, il veut d’abord consulter ses membres. Que va faire un gamin de neuf ans? demande le CADRes, à quoi le policier municipal répond qu’à neuf ans on est un cycliste comme un autre.
Rappelons que Vieux-Thann n’est pas à son coup d’essai puisque la route de Roderen a déjà fait l’objet d’un tel traitement en juillet 2021.
Voir ici le traitement de la route de Roderen


Cette peinture est à gagner et ne comporte aucune obligation d’achat. Elle n’est pas encore sèche (frais de port non compris)
Il suffit de localiser les six images suivantes qui sont toutes extraites du blog Vélomaxou.
Le gagnant sera le premier à donner l’ensemble des bonnes réponses dans les commentaires. Mieux vaut s’assurer de donner l’ensemble des réponses en une seule fois plutôt qu’une par une…



Souvenez-vous des neuf cas autorisant à se déplacer pendant la période Covid
(voir mon article de novembre 2020)
Nouveau système de contrôle de nos déplacements, le QR Code va bientôt apparaître à Paris lors des JO.

C’est diabolique et c’est l’invention de la police pour contrôler nos allées et venues lors des JO.
« Automobilistes et piétons ne pourront pas circuler librement dans certaines zones de la capitale et en Île-de-France cet été. Sauf s’ils s’inscrivent sur une plateforme numérique dédiée, annonce Laurent Nunez.
C’est pour notre bien

Evidemment, personne n’est dupe, on sait bien que cette expérimentation fera des émules partout sur le territoire. Avec en prime la reconnaissance faciale et les drones pour surveiller les manifs et les marchés de Noël comme à Strasbourg.
La COP28 s’ouvre à… Dubaï!
Pour moi, c’est l’hospice qui se fout de la charité. Comment imaginer qu’il n’y a aura plus d’énergies fossiles à partir de 2030? et que par conséquent tout le monde roulera à l’électrique? et se chauffera avec des pompes à chaleur?
Les préoccupations du monde sont loin de se focaliser sur les énergies. Au contraire. Les aigreurs, les rancœurs, les haines ancestrales, la question du partage des richesses et la démographie galopante des plus pauvres s’étalent chaque jour sur la planète.
L’Union Européenne (27 Etats) reste sourde et aveugle alors qu’elle pèse de moins en moins dans le concert des nations.

Je n’ai guère vu novembre.
Les mois filent. Les années aussi. On aimerait parfois ralentir le temps lorsque l’âge avance. Quand d’autres, abimés, cabossés, fatigués et pourtant peu inspirés par une rédemption préféreraient abréger l’épisode terrestre.
Je me réfère à mon agenda sportif pour me convaincre que oui, novembre a existé.
Je ne sais pas pourquoi j’éprouve ce besoin de noter mes sorties. Un témoignage à moi-même? un souvenir? une preuve? peut-être tout à la fois. Finalement je n’ai rien à prouver, je ne suis pas mis en examen. Et pourtant je m’examine. C’est me dit l’IA de Microsoft le cas de ceux qui souffrent de TOC (les troubles obsessionnels compulsifs) ou les anxieux. Je suis peut-être un de ceux là quand je songe que j’ai accumulé bientôt quarante ans de carnets…

L’informatique en aide
A présent plus de carnets manuscrits, j’ai tout confié à Garmin Connect. Garmin me restitue de beaux tableaux, est capable de me sortir toute sortes de courbes et les plans de mes voyages.

Restitution du travail cardiaque et de la pente de ma journée d’hier.
Chaque année notre capacité cardiaque se rétrécit. Lorsque j’avais 20 ans, je disposais théoriquement de 220 pulsations par minute, à 70 ans je n’en ai plus que 150. Hier je n’ai pas dépassé 147 puls. avec une moyenne de 123 sur le parcours. Je sais par ailleurs qu’un électrocardiogramme pourra détecter une anomalie et mettre à terre toutes mes ambitions futures en m’obligeant à renoncer à grimper mes cols locaux.
L’électrique m’attend! s’écriront mes confrères
Je ne sous-estime pas non plus d’autres pathologies à venir en dépit de ma pratique sportive. Les troubles musculosquelettiques comme l’arthrose du genou interroge. Je n’en connais pas l’évolution, la course à pied est un facteur qu’on dit aggravant.
La course à pied est souvent déconseillée pour les articulations. Courir serait potentiellement mauvais pour les genoux et pourrait provoquer de l’arthrose.
Nous allons voir que tout ceci est faux. La course à pied n’est pas reliée à l’apparition de l’arthrose et il est tout à fait possible de courir avec de l’arthrose aux genoux, en suivant les bonnes recommandations. (source)
Les 18 jours où j’ai inscrit du sport sur mon agenda de novembre.



Faut que ça saigne!
Henri Rapp dédicaçait ce week-end dernier son roman policier au salon des peintres à Ensisheim.
Tous les ingrédients de ce polar vont vous tenir en haleine, surtout si vous êtres connaisseur des lieux comme moi.
Le Palais de la Régence, la météorite, les remparts, la prison, la rue de la Monnaie, un ancien repris de justice et le tout emballé dans un univers de revenants et de paranormal.
Henri Rapp connait aussi les peintres locaux puisque l’un de ses personnages s’enferme une nuit dans le Palais de la Régence pour surveiller nos tableaux exposés.
Douze chapitres menés tambour battant qui ne nous laissent pas souffler.
Les Fantômes du Palais de la Régence- Henri Rapp- éd. Le Lys Bleu (ISBN 1042207615) 20.50€