L’aqueduc des Arceaux a été construit au XVIIIème siècle pour alimenter en eau la ville de Montpellier. Au bout des Arceaux, le château d’eau du Peyrou de belle facture architecturale.
Si l’alimentation en eau de Montpellier vous intéresse, allez voir ici l’histoire de l’aqueduc de Saint Clément qu’on appelle aujourd’hui les Arceaux.
Il faut que je perfectionne mon paquetage. Avec la peinture à l’huile, la question urgente se pose à la fin: comment ramener son tableau pas sec?
Aujourd’hui j’ai glissé le format 30×40 dans la sacoche. Parfait! Pour les plus grands formats, je vais devoir inventer un truc.
Je commence à déambuler dans les rues avec mon bardas qui cliquette. Soleil dans le dos. Je m’installe dans les contre-allées du Peyrou. Bruit infernal du trafic en contrebas et bourrasque de vent encore frais.
Puis j’esquisse.
Runners et chiens toute la matinée.
J’ébauche le Pic St-Loup dans le lointain et mon clocher. Un platane en appui à gauche.
Deux heures pour passer le temps et je retraverse la ville au pas jusqu’à la Comédie.
Mon vélo convient très bien à la découverte de la ville
Découvrir une ville à vélo, c’est aussi une autre façon de voir la ville, de la connaître, de la sentir et de la parcourir dans toutes ses perspectives.
Je flâne au marché aux puces
Pouvoir s’arrêter, retourner sur ses pas, reprendre sa route, quitter un grand axe pour s’aventurer dans des artères étroites ou dans le cœur historique où la voiture ne passe pas, puis fuir vers les périphéries derrière un routier qui, seul, connait les astuces pour quitter la ville au plus vite. Les sorties de ville et les destinations inter-quartiers n’existent pas à Montpellier.
J’avise un chemin caillouteux et étroit, et me voici derrière l’hôtel départemental tout seul avec ce joli plan d’eau
Une fois l’itinéraire appris, je reviens sur mes pas et je reprends mes découvertes. Je m’arrête pour photographier, regarder les gens attablés aux terrasses qui profitent du farniente. Finalement je m’attable aussi.
Comme c’est bizarre cette saucisse sur une chambre à airexplorer les ruelles étroitesle tram, l’autre moyen de visiter la villeici le tram ne vient pas, mon vélo si!est-il un vrai ou un faux?21 km en ville. La ville a beaucoup fait pour le vélo, toutes les artères comportent des voies cyclables double-sens. Méfiance aux carrefours!
C’est à Béziers que le maire impose dorénavant un passeport génétique aux propriétaires de chiens. Le service revient selon la mairie à 80.000 euros par an. On prélève un peu de salive dans la gueule du chien et on établit un passeport qui permettra de retrouver le proprio indélicat qui laisse les crottes du chien dans la rue, sur les trottoirs ou les espaces verts.
PV pour frais de nettoiement 135 euros
A Namur la ville prend aussi des mesures…
« À partir de maintenant, chaque propriétaire de chien qui balade son animal est censé avoir sur lui de sacs de ramassage pour ramasser les déjections de son animal. Donc, ça veut dire qu’en se promenant dans la rue, un gardien de la paix peut vous arrêter et vous demander de montrer votre matériel de ramassage et si vous ne l’avez pas, ça peut conduire à une amende », avertit Charlotte Deborsu, échevine de la Propreté publique à Namur. (RTL Info)
Il est vrai que l’épisode Covid a dopé les ventes de chiens pour permettre aux proprios de se promener toute la journée.
Et à Thann? 70 tonnes par an!
Rapporté à une petite ville comme la mienne de 8000 habitants, on arrive à….1000 chiens qui doivent chaque jour effectuer leurs besoins. Sachant qu’un chien produit 70 kg d’excréments par an, on arrive tout simplement à un chiffre conséquent et d’ampleur sanitaire puisqu’il faut évacuer pas moins de 70 tonnes de crottes canines. Y compris celles qui sont placées dans les sanicrottes au coin des rues.
En France, on dénombre 7,26 millions de chiens, contre 12,68 millions de chats (2015 source Santé Vét)
La taxe sur les chiens a existé en France, au XIXe siècle. Créée en 1855, elle a été supprimée à la fin des années 1970. Les chiens étaient alors classés par catégorie et la taxe était calculée en fonction du poids et de la taille de l’animal.
En revanche, Allemagne, Suisse et Pays-Bas disposent de taxes.
Jeune femme assise devant la fenêtre dit l’été (1879) Berthe Morisot (musée Fabre- Montpellier)
Je me suis installé devant. Et je l’ai dévisagée. Elle avait un regard mystérieux comme si, traversant le temps qui passe, elle me déversait une tendresse venue d’un autre temps.
Je suis parti. Ému.
Puis je suis revenu. Je voulais la revoir. Le gardien, intrigué, s’est approché, lentement. Alors je suis parti en courant dans l’escalier.
Une visite de travaux qui me laisse pantois. L’esplanade de la Comédie à Montpellier a construit une palissade de luxe. On y trouve des reproductions du musée Fabre qui est en face. Une invitation fort séduisante car j’ai envie vraiment d’en voir plus. Surtout les peintures impressionnistes. Il me faut juste trouver le moyen d’y aller sans risques pour mon vélo. L’autre alternative c’est de prendre le tram.
Notre Grand Charles serait-il devenu marcheur? (Théâtre Hélios)
Quoi ma marche, qu’est-ce qu’elle a ma marche? ne nous trompons pas, j’essaie de me fondre dans une écriture moderne, celle de la plus jeune génération qui s’est définitivement affranchie de la grammaire.
Ainsi écrit-on aujourd’hui sa marche pour dire je suis d’accord comme si la phonétique , ce que l’on entend, permettait d’accéder à une transcription simple, voire simpliste.
La fréquentation des réseaux sociaux est une immersion fatale au langage dénaturé. Je dois m’y faire, sauf à m’en exclure.
Notre première ministre n’est pas exempte du phénomène puisqu’elle ose écrire convenir attaché à l’auxiliaire avoir. Avec le Président de la République nous avons convenu…alors qu’on ne dit pas nous avons venu on doit dire nous sommes convenus comme nous sommes venus. Mais il existe plus chipoteurs que moi pour m’affirmer qu’on a le droit d’écrire convenu avec les deux auxiliaires selon les circonstances.
La langue française et sa grammaire sont d’une subtilité redoutable.
Pour quitter Odysseum, j’ai arrêté la marche et j’ai profité de ce tas de ferraille
Avant que l’encre disparaisse définitivement du texte affiché sur la porte, j’ai réussi à le recopier
Chers clients
Après 43 années à votre service, ayant succédé à mon père Angel Pérez qui avait fondé l’établissement en 1952 , je prends ma retraite complète le 1 janvier 2023 après avoir exercé ce métier/ passion.
Si message de votre part, veuillez glisser une enveloppe sous la porte
Michel Pérez
Cycles Michel Pérez, 85 avenue de Palavas à Montpellier .
J’imagine tous ces vélos sur le trottoir attendant des soins avant de reprendre la route de la mer.
Vic, un patriote sans doute en cas d’attaques de Sarrazins
J’ai quitté Montpellier à 9 heures à la recherche d’un itinéraire improbable. Une fois franchies les autoroutes et la ligne TGV, je rejoins Maurin, puis Villeneuve les Maguelone. L’itinéraire cyclable semble intéressant jusqu’à ce que j’aboutisse nulle part. Je me fie ensuite à mon bon sens, le soleil dans le dos.
A Mireval, je grimpe dans une ruelle jusqu’à l’église. J’aime le cœur historique de ces villages languedociens bien préservés de l’urbanisation galopante.
Mireval, connu pour son muscat
Puis je pars jusqu’à Vic-la-Gardiole.
Vic, heureusement que j’ai scié le guidon pour passer dans la ruelle Les murs de l’église de Vic font deux mètres d’épaisseur
Au milieu des étangs, Vic est proche de la mer et des plages. J’y accède par le bois des Aresquiers.
Retour direct en longeant le canal de Sète. Vent debout à décorner les cocus. D’ailleurs deux types derrière font demi-tour. C’est dire s’ils craignent pour leur réputation. Je vais mettre 45mn pour atteindre Palavas avec un cardio digne d’un home-trainer en CHU.
La piste traverse le bois des Aresquiers Les cabanes des Aresquiers au bord des étangs Le long du canal pour le retour , du km 25 au km 37, une épreuve de 45 mn face au vent sans rien pour s’abriter. Je cherche des appuis au milieu du guidon et je sélectionne un braquet mou, gage de sécurité Peu d’attractions à part les bateaux
Heureusement il me restait dans mon bidon l’eau de la pompe du Bike-Park de Cernay.
Palavas – Montpellier un ballet interminable de cyclistes qui vont à la mer
Parcours approximatif retracé car je n’ai pas wifi sur ce gps pour déverser la trace 48 km vit moyenne 15
Mon magasin des souvenirs est constitué d’un fatras numérique que je peine à mettre dans l’ordre à mon retour de voyage. Des photos, des traces, des brouillons de cols à recopier au propre.
Ce matin, inextricable dépouillement de mes traces enregistrées dans le sud. Je suis vénère comme on dit en novlangue car c’est un boulot de titan. C’est que je tiens à ma comptabilité quasi notariale des kilomètres, ascensions et collinets franchis.
Les cols de la quinzaine passée
chaque année, c’est un peu plus difficile
En un mot, pour moi, c’est viral. Non j’ai voulu écrire vital. Mais viral, c’est bien aussi.
Mon GPS Map62S fait des facéties, il recrache pleins de trucs que je dois remettre bout à bout. Il ne se trompe pas mais il faut savoir le conduire.
723,42 km!
Parfois oubliant d’arrêter la navigation à la fin de la journée VTT, il ajoute tout bonnement les 680km du retour en Alsace le lendemain!
Bon, au bout d’une heure, je suis parvenu à retranscrire tous les fichiers dans Openrunner et dans Garmin Connect, la base qui tient à jour mon activité physique.
mon activité des quinze derniers jours consolidée
Vous me direz, à mon âge certain, je m’interroge sur mes certitudes d’être sur le bon chemin. Faut-il encore s’astreindre à tenir à jour ce palmarès?
Les parcours non construits à l’avance, c’est bien aussi. A coté des déconvenues, il existe aussi des découvertes
le long de l Mosson, on a disposé des barrières textiles. En pente. Pourquoi? pour empêcher les tortues cistude d’aller vers la rivière mais pas les reptiles. La Mosson va être pourvue de digues
J’ai franchi l’autoroute par la passerelle et j’ai longé ces friches en attente de la voracité foncière.
La ville surdouée n’a pas dit son dernier mot
Montpellier fait partie de cette mégalopole que seule la mer pourra arrêter.
Un cycliste des lieux me conduit jusqu’à Villeneuve suivant son itinéraire habituel. Son bon vieux Gitane est aguerri, il a des pneus increvables. C’est mieux pour aborder les scories de la périphérie.
A la cathédrale on se quittera.
Aux abords de la cathédrale
J’ai été intrigué par le bziiiiii-bziiiiii que je n’attendais pas si tôt. Je savais que depuis plusieurs jours ce bruit caractéristique était celui de la mort des plaquettes de freins.
Un bziiiiii-bziiiiii caractéristique venant du frein arrière Mer calme
J’ai opéré sur le champ grâce à des plaquettes encore bonnes dans mon sac
Hélas j’ai trop attendu, j’ai commencé à mordre la ferraille avec le disquePalavasRetour à la capitale
Guidé par un fort vent de nord-ouest je suis alléché par une belle odeur de café. Je tombe sur l’usine Jacques Vabre.
Je pars à l’aventure urbaine. Rien qu’un itinéraire improbable comme ceux où je me plais à rencontrer l’inconnu.
La tour TDF est perchée sur les hauteurs de Montpellier. Je la contournerai.
Quitter la ville par l’ouest, un parcours du combattant de 8 kilomètres. Parfois j’hésite et je me réfugie dans des itinéraires incertains de quartiers puis je reprends de longues avenues et je prends les immenses giratoires à l’envers pour mieux voir l’ennemi en face.
Extraordinaire bombe hilarante en taille Maxxi qui jonche le sol.
Finalement j’arrive à Lavérune. Une victoire. La vieille route est attribuée aux cyclistes. Merci.
Derrière l’usine Jacques Vabre, me voici dans les vignes et face au vent violent.
Au bout du vignoble, Saint-Georges-d’OrquesSt-Georges, au cœur du village
Puis je trouve une piste roulante toute neuve qui me conduit à Juvignac. A Juvignac, je longe la Mosson sans trop savoir si je pourrais sortir à l’autre bout du chemin.
Vestige du pont roman sur la Mosson
Les platanes le long de la Mosson exposent leurs généreuses racines
Miracle un tunnel pour traverser une voie rapide
Retour à Lavérune. But du jeu rentrer à Montpellier sans trop me tromper dans ce magma urbain. La ville a fait des efforts. Je trouve des axes cyclables qui font penser à des itinéraires post-Covid restés en place.
Étonnant temple Lao tout neufLe stade municipal.
Très peu d’erreurs pour le retour. Mon gps m’a beaucoup aidé car aucune signalétique cyclable n’est en place sur les pistes. Tout reste à faire.
J’évite de prendre la voiture pour ensuite courir. Un geste pour la planète. Alors je tourne en local. L’urban- trail est décrié. Il a de nombreux défauts. D’abord la ville serait incompatible avec la course alors qu’on se démène pour y installer des espaces dédiés aux piétons. Le coureur n’est rien d’autre qu’un piéton qui va vite. Ensuite les professionnels du trail garantissent qu’on se démolit les articulations en courant sur du dur et enfin la ville est un hébergeur de polluants. Pas faux tout ça certainement. Mais je cours tout de même cinquante minutes et je suis content.
Les grapheurs sous les noms sont des artistes. Ils ont leur nom en bas et ils le méritent. Je m’arrête. Puis je repars.
Sous le béton, un espace natureEaux usées et méthanisation à la sortie de la ville
Vélomagg, c’est le Velib montpelliérain. Je l’ai essayé aujourd’hui. Reportage.
L’essayer c’est pas l’adopter
L’archétype du tas de ferraille
En langage cycliste, nous dirons que c’est un tas de ferraille. Passons.
Pour accéder au service, il faut télécharger l’application M’ticket puis enregistrer sa carte bleue. C’est une action qui requiert de la confiance. Après quoi on vous débite 150 euros de garantie et on peut ensuite prendre un vélo à la première station disponible. Le service est facturé 50 centimes l’heure.
3,7km 25 minutes
Après avoir entré sur le tableau de bord du vélo mon numéro de compte et mon code pin délivré en retour de l’inscription, mon vélo est déverrouillé de sa borne d’ancrage.
Vérifier que les pneus sont gonflés et régler la selle.
Je pars. Première impression ça n’avance pas. On a le sentiment de conduire un poids lourd. Le pédalier craque et grince. Le développement est nul. Trois vitesses. La une et la deux sont très courtes et la trois vous assure le mode courant. Pas de danseuse, trop casse-gueule. Pas de freins non plus avec les gros tambours. Au bout de 25 minutes j’ai rejoint le centre-ville 3,7km!
Nexus trois vitesses au moyeu
Je vais en reprendre un autre pour rentrer. Finalement le tram est plus sympa…
…même si le deuxième vélo était plus roulant. Il est évident que ce type d’engin est incapable de vous conduire confortablement à plus de 10km.
Antivol dans le guidon entre deux stations et béquille pour s’arrêter
Trouver une station et vite se débarrasser de la bête ! Vérifier à l’écran que votre vélo est bien ancré.
Sonnette efficace
J’aurais au moins essayé. Réflexion faite la trottinette muscu est plus pratique sur de courts trajets
Aujourd’hui Montpellier à trottinette musculaire. Je détonne un peu parmi les trottineurs à batterie. À Montpellier ils sont plus nombreux que les cyclistes.
Je pousse pied gauche. Le droit est subsidiaire, moins efficace. Je sais permuter aisément. Je sais sautiller sur les raccords. Étant musculaire je prends les trottoirs généreux et je sors sur la chaussée lorsque c’est plus simple. Sac à dos indispensable. Au centre commercial du Polygone, je plie l’engin et j’ai la bandoulière. Avantage indéniable sur l’électrique.
Au programme Comédie, préfecture, Peyrou, Polygone, Antigone, le Lez
Dix kilomètres. Plus pratique que le tram car je me faufile dans le centre historique . Attention quand même à regarder où l’on met ses roues car de nombreux pavés glissants.
Je m’attarde comme si je devais faire un plein de vues avant de regagner le ch’nord.
Dans le sud on est bicardinal. La géographie est verticale. Le Grand Est n’existe donc pas. C’est pratique pour simplifier la culture hexagonale. A partir de la Loire, c’est le nord. Et pour la langue, itou. Ici c’est l’Oc.
Rectiligne mais zone de rencontre limitée à 10km/h pour les vélos (Palavas)Passerelle de l’abbayeExpo le long de la piste cyclable à Villeneuve Retour le long du Lez
La ferveur sportive de la ville le long du Lez le dimanche matin suppose que chacun respecte l’autre tellement nous sommes nombreux. A l’entrée de Lattes, demi-tour. J’ai un vent frais du nord pour évacuer la transpiration et j’arrive bien sec à Montpellier. J’éprouvais un nouveau maillot tout polyester qui ne colle pas à la peau et qui donne l’impression d’être frais comme un gardon.
Débarrassée de la voiture, la mobilité douce en ville prend tout doucement sa place dans les hyper-centres
Mobilités montpelliéraines. Montpellier est-elle encore la surdouée ?
Je n’ai pas l’expérience du vélo en grande agglomération (500.000 habitants). Je peux donc faire un rapport d’étonnement sans arrière-pensée. On s’en doute, je suis conquis. Pourquoi? Parce que l’image ringarde du vélo en province est rayée d’un trait. Dans « l’autre France », le vélo a pris sa place, mais ne soyons pas jaloux, la trottinette électrique emporte la palme, c’est un nouveau phénomène de société. L’engin est simple à mettre en œuvre, facile d’usage, moins impliquant qu’un vélo pour se faufiler en zone dense, faible apprentissage, facile à emporter avec soi en mode piéton jusqu’à l’intérieur de sa destination. L’autre phénomène, c’est celui de l’incursion du vélo cargo dans le cœur de ville : vélo taxi, vélo excursion, vélo course et livraison. Place aux images.
Une percée indéniable du vélo cargo et de la trottinette électrique. Une moindre présence du vélo en libre-service. Ce constat n’a rien de statistique. Manifestement une grande agglomération est capable de réaliser une synthèse post-automobile à l’aide des mobilités douces. J’ai un faible pour le couple trottinettes/piétons en zone urbaine dense.
Dédiée à la surveillance des pistes cyclables, une brigade à vélo sillonne les rues de Montpellier et traque les voitures qui stationnent illégalement.
Une idée qui pourrait être reprise dans de nombreuses villes dont Mulhouse.
Malgrè le temps médiocre, je réussis à faire un tour de mer. Inhabituellement agitée, je profite du beau spectacle.
Écluse sur le Lez
Je quitte Montpellier par le Lez. Le plus simple pour éviter la route, c’est de suivre le cours d’eau bien équipé pour les cyclistes le long des berges.
Palavas les Flots
Le longe la côte jusqu’à Carnon, puis je contourne l’étang
C’est l’œuvre d’un militant copieusement critiquée par les automobilistes locaux en commentaires de l’article de presse. Comme on l’imagine, Montpellier est d’abord une ville où l’auto règne en maître. Le phénomène anti-cycliste s’affiche ouvertement dès lors qu’il s’agit de mettre en cause des pratiques et des usages contraires au tout voiture.
Initiative intéressante à Montpellier. Ce pousse-pousse vous transporte de votre domicile à votre commerçant et vous ramène ensuite. Idéal pour les personnes âgées qui craignent le tram.
Cerise sur le gâteau, le pilote monte vos courses à l’étage.
Place de la Comédie Montpellier. Pas une lame pour racler ce déluge de neige fondue (image Vincent Pereira)
En France, dès que le système se grippe, plus rien ne marche.
C’est un peu la tonalité des commentaires ce matin dans la presse à la suite des intempéries en Languedoc-Roussillon qui m’incite à réfléchir. Continuer à lire … « Montpellier la surdouée »
Abandonner sauvagement sa canette ou un sachet plastique hors des poubelles sera amendable… C’est une mesure à laquelle on ne peut qu’applaudir. Je suis même étonné que la presse n’en parle pas davantage. L’amende sera salée: 275 euros!
De quoi réfléchir à deux fois avant de jeter sa canette par la fenêtre de la voiture.
Seulement, il y a un hic, c’est en Suisse que ça se passe. à lire dans La Tribune de GenèveContinuer à lire … « Les petits crottins du lundi »