Nouvelles de la FFCT

Je ne sais pas si je dois encore employer FFCT ou FFVélo. Allons-y pour FFCT. Je me plonge rarement dans l’actualité de la fédération n’en étant plus associé à un club adhérent. Mais je reste adhérent individuel.

La FFCT continue de suivre son bonhomme de chemin, bon an, mal an. Sa dernière AG vient de se tenir à Angers les 7 et 8 décembre dernier.

Dans ce qui suit, les textes en bleu sont ceux de la FFCT contenus dans le rapport de l’Assemblée Générale

Une lente érosion qui se poursuit en 2019…

Près de 8000 adhérents en moins en cinq ans…l’effort en direction des jeunes ne porte pas ses fruits. La revue continue son déclin

Les cyclomontagnardes à la peine. Seuls le Vercors et le BRA tirent leur épingle du jeu avec plus de 1000 participants. Toutes les autres enregistrent des baisses de fréquentation en 2019

La Cyclomontagnarde des Vosges Celtiques (67) 06 et 07 Juillet 2019 – 464 cyclotouristes (489 en 2017) ;

Le succès de la Semaine Fédérale ne se dément pas avec plus de 10.000 participants à Cognac en 2019

La principale activité est de très loin le vélo de route, pour seulement 350 VTT, il faut noter la forte progression des VAE arrivant à 10 % des effectifs. Malgré les efforts constants imposés par la Fédération et les services de l’État en termes de sécurité, nous avons encore déploré quelques interventions des secours sur les circuits (une vingtaine). Force est de constater que l’indiscipline de certains participants est souvent à l’origine de chutes, heureusement souvent peu graves.

„La dangerosité de la route dissuade beaucoup la pratique du vélo

ACCIDENTS DE LA ROUTE La Fédération constate les accidents dramatiques de la route où de nombreux cyclistes sont mortellement touchés, avec une forte augmentation en 2019. Un communiqué de presse a été réalisé cette année en juillet pour alerter toutes les instances du gouvernement français de cette situation alarmante. Sachant que fréquemment on peut constater l’usage de l’alcool, de stupéfiants et le délit de fuite, parfois les trois. Une action sera mise en place pour permettre une réelle prise de conscience de ce recul très grave du partage de la route

Un florilège de questions posées par les participants à l’AG…

Question: À quoi sert d’être dans le CNOSF (nous payons une cotisation exorbitante), à quoi cela d’être reconnu d’utilité publique sachant que nous sommes appelés par manque d’identité à fusionner avec la FFC ?

Réponse: Personne n’a le pouvoir de diligenter une fusion des fédérations. La FFC n’a pas ce pouvoir sauf en rêve et cette tentative avortée n’a pas été soutenue par les instances du sport, tout simplement parce que ce n’est pas de leur ressort. Il est donc inutile de revenir sur un fait de l’histoire qui date du siècle dernier : la première tentative sérieuse a eu lieu sous le gouvernement de Vichy et cela n’a pas eu de suite. En parler est donc inutile mais bien entendu nous restons vigilants puisque périodiquement certains lancent cette idée, peut-être intéressés par nos effectifs et par le patrimoine foncier de la Fédération

Commentaire de vélomaxou: Cette rumeur de l’absorption de la FFCT par la FFC continue de courir malgré le démenti du 7 mai 2019 qu’on peut lire ici. Derrière cette idée de fusion, on sent que la FFCT est à la croisée des chemins: des équipes vieillissantes, des structures fragilisées par la réforme des régions administratives et une image clairement marquée par des décennies de suivisme du modèle de la compétition: mêmes vélos, mêmes tenues bariolées et des clubs abonnés aux performances dominicales.

Question: Notre club compte 52 licenciés et perd régulièrement des licenciés depuis plusieurs années (71 en 2015). La moyenne d’âge est de 71 ans. Nous aurons des difficultés à renouveler le bureau prochainement. Devons-nous décliner jusqu’à la disparition de notre association ? Dur de trouver de nouveaux partants pour 100 km et plus de 1 000 m de dénivelé. Que faire ?

Réponse: Beaucoup de clubs connaissent cette situation ; mais beaucoup aussi changent d’orientation. Il est possible de s’ouvrir à ceux qui recherchent des sorties moins longues, moins difficiles. Il n’est pas obligatoire de faire 100 km et plus pour adhérer à un club. Leur faire découvrir notre activité via la convention de pré accueil peut être un bon moyen de faire venir de nouveaux adhérents ; parmi eux certains resteront contemplatifs mais d’autres iront vers des horizons plus ambitieux. S’investir auprès des scolaires via le « Savoir rouler à vélo» et/ou une école cyclo est un autre moyen de toucher jeunes et parents. Via ces deux leviers (pré-accueil et scolaire), des clubs ont augmenté leurs effectifs de manière sensible.

Commentaire de vélomaxou: voici l’exemple même de ce qui se passe dans la plupart des petits clubs. On n’arrive plus à faire100 km avec 1000 mètres de dénivelé et on est en plein désarroi du fait du vieillissement des membres. Comment expliquer que les clubs n’arrivent plus à renouveler leurs adhérents?

Question: Aide aux clubs en fin de vie. Le manque de renouvellement et le vieillissement de nos effectifs, amènent de nombreux clubs (dont le mien) à se poser la question du seuil critique, en nombre d’adhérents, en dessous duquel il faut prendre la décision d’arrêter.L’aspect financier est un des paramètres à ne pas négliger. Plus le nombre de licenciés diminue et plus les forfaits (réaffiliation club, option assurance) ramenés à chaque licencié deviennent chers. La réaffiliation de 54 euros n’a pas le même impact dans un club de 10 adhérents que dans un club de 150. Une dégressivité par tranches d’effectif, ne serait-elle pas de nature à compenser ce phénomène, dont la conséquence est d’accélérer la fin de vie de ces « petits » clubs ? Pourquoi ne bénéficieraient-ils pas, eux-aussi, d’un coup de pouce de la Fédération, comme celui accordé aux nouveaux clubs affiliés (exemption de cotisation) ?

Réponse: Alors que jusqu’à présent, les aides fédérales ne s’appliquaient qu’aux Comités départementaux et régionaux, la Fédération a mis en place une grille d ‘aide aux clubs – même les plus petits – en fonction des actions auxquelles ils ont participé. Cette grille, différente de celle du Challenge de France, attribue des points selon le barème 1 point = 1 euro. Chaque club peut consulter sa fiche de bilan sur l’intranet fédéral en toute transparence et voir ainsi les actions lui permettant ou pas de « progresser ».

Commentaire de vélomaxou: la situation de crise due à la baisse des effectifs dans les clubs génère des contraintes financières inéluctables. Il n’y a pas lieu de s’en réjouir alors qu’on assiste petit à petit à la mort du concept de cyclotourisme en club tel qu’il a été pratiqué pendant des décennies.

Question: Il est grand temps que nos dirigeants assument leur décision. Le flou, l’enfumage n’est plus permis FFCT, FFvélo, où en sommes-nous ? Les cyclos sont perdus.

Réponse: …Nous n’avons pas cette impression de perte de repère mais bien d’une maîtrise par la plupart des usages de la marque « FFVélo ». La situation se normalise au fil des mois et cela est une situation tout à fait légitime dans un système purement associatif et basé sur du bénévolat. Personne ne va à la même vitesse c’est la même chose sur nos vélos. La marque « FFVélo » a pour but de dire que la Fédération française de cyclotourisme fait et gère toutes les pratiques à vélo. Il n’y a pas eu de précipitation mais une communication inadaptée en 2018 ; ce n‘est pas du tout la même chose

Commentaire de vélomaxou: Le changement de nom de la FFCT n’a toujours pas été digéré dans les structures. C’était prévisible vu les maladresses commises par la Fédération lors de son annonce. Il reste que continuer à utiliser les deux appellations aboutit à brouiller encore davantage l’image de l’organisation. Dire que la FFCT a l’ambition de gérer toutes les pratiques vélo, c’est faire peu de cas de la grande soeur FFC qui gère la compétition ainsi qu’une grande partie de l’activité VTT et de la FUB qui gère plutôt bien le vélo au quotidien en zone urbaine. Élargir son champ de pratiques, ça ne se décrète pas d’un coup de baguette magique d’autant que la culture interne du vélo de la FFCT est loin de comprendre le vélo dans ses aspects utilitaires au quotidien.

Question: Pour pouvoir suivre les jeunes, nos aînés s’équipent de plus en plus en vélo électrique afin de pouvoir continuer à rouler tous ensemble… or la réglementation applicable aux vélos électriques, sous réserve d’être immatriculé,(!) oblige à brider les moteurs à une vitesse de 25 km/h alors que tout cycliste qui se respecte sait bien qu’un peloton sur le plat roule à 40 km/h sans efforts surhumains

Réponse: Vous confondez deux choses, vélo électrique et vélo à assistance électrique, communément appelé VAE. Seul le VAE est reconnu dans notre Fédération et pour résumer la législation, il faut pédaler pour avoir de l’assistance, puissance nominale du moteur 250 W et arrêt de l’assistance 25 km/h, ce qui n’empêche pas de rouler plus vite, donc de rouler à 40 km/h comme vous l’indiquez.

Commentaire de vélomaxou: La question illustre assez bien le dilemme dans les clubs et l’état d’esprit qui y règne. Comment aller rouler à 40 km/h lorsqu’on prend de l’âge? la question fait sourire et la réponse de la fédération est tout aussi humoristique.

Question: La Fédération incite les clubs à utiliser des gobelets réutilisables, à organiser le tri des déchets : très bien. Mais qu’en est-il du bilan carbone des organisations où la voiture accompagnatrice est devenue la norme (Paris-Brest-Paris, Cyclomontagnarde en version touriste, etc.) ainsi que celles où l’on incite au déplacement motorisé (SF avec départs différés). La Fédération ne devrait-elle pas interdire toute voiture suiveuse dans ses brevets et ainsi promouvoir l’autonomie ? La Fédération ne devrait-elle pas tout faire pour limiter les déplacements motorisés et ainsi participer à la protection de l’environnement.

Réponse: Sur le principe, on ne peut que souscrire à ce type de propos. La réalité est légèrement plus complexe. En effet, on ne peut pas interdire complètement l’usage des véhicules. En revanche, on peut prendre, d’une part, des dispositions, avec les organisateurs des évènements et d’autre part, mettre en avant des recommandations.Par exemple : • interdire les voitures suiveuses sur le parcours des cyclomontagnardes, peut-être aussi sur Paris-Brest-Paris ; • mettre à disposition un itinéraire bis pour les véhicules motorisés.La Fédération met à disposition des personnes devant organiser une réunion un outil « Optimouv », déployé par le Ministère et qui optimise le lieu de la réunion en fonction des adresses des participants.Nous préconisons également les audio conférences pour minimiser les déplacement

Commentaire de vélomaxou: c’est typiquement la question qui fait tache, celle que la FFCT attache à sa relation à l’environnement. On fait des raids à vélo, mais c’est une bagnole qui transporte tout le barda. L’emporter sur le vélo? N’y songez-pas! C’est le cas des cyclo-montagnardes, par exemple, où un véhicule transporte vos bagages du soir. Ce modèle de cyclisme là ne m’intéresse plus justement qu’il encourage l’emploi de véhicules à moteur. Je sais ce qu’il en est, je l’ai pratiqué et notamment pour ma traversée des Vosges à VTT. J’en parle donc en connaissance de cause. Oublions aussi ces transports en avion pour aller en Chine ou pour en revenir. C’est un vrai délire sur le plan environnemental.

200 vient de paraître

200 le magazine sensible de janvier vient de paraître.

Le feuilleter, le toucher, c’est une façon de s’en imprégner avant même d’en entamer la lecture.

Des 200 km, je n’en ai pas fait beaucoup. Juste quelques Audax, mon dernier remontant à 2008!…Cette année là, notre Audax a été accompli à 25km/h environ, 1950m de dénivelée.Un peu au-dessus des 22.5 prévus donc. En peloton, 200 km c’est plus facile que tout seul. Gardons raison!

Enfin 200 bornes avec de l’entraînement, c’est accessible à beaucoup d’entre-nous. Si le magazine a choisi de s’appeler 200, c’est j’imagine pour défendre son esprit baroudeur à vélo.

Voyages sellestes de Claude Marthaler

Dédicace de "Voyages sellestes" au Vent des Routes

Claude Marthaler, infatigable baroudeur à vélo publie son dixième ouvrage, Voyages sellestes, aux éditions Glénat. Bravo pour le clin d’œil à la selle !

« Alpes, Andes, Rocheuses, Caucase, Pamirs, Himalaya, j’ai toujours été un grimpeur à deux roues. Pédaler des milliers de kilomètres pour atteindre un massif ne m’effraie pas. Le vélo et la montagne ont fait partie de tous mes voyages, comme si ces deux pratiques n’allaient pas l’une sans l’autre… »

Les alpinistes visent à gravir un sommet, le voyageur à vélo, lui, franchit les cols, traverse de hauts-plateaux. Le vélo devient son animal de bât, son allié, lui assurant de pouvoir transporter réserves d’eau et de nourriture et de couvrir une certaine distance.

Dédicaces…

Samedi 18 et dimanche 19 janvier: 35ème Festival international du voyage à vélo (F-Vincennes 94300, Paris)

Jeudi 23 janvier: dès 19 heures, à l’occasion de l’apéritif des voeux, Arcade de PRO VELO Genève (Place de Montbrillant, 4, 1201 Genève)

Vendredi 24 janvier: 17h-19h30, apéritif, bienvenue chez moi! (55, rue de Vermont, 1202 Genève)

Jeudi 13 février: 17h30-19h, Librairie Au Vent des Routes (50, rue des Bains, 1205 Genève

…ou par la Poste

cyclonaute@gmail.com

…ou dans les (bonnes) librairies

33.50 CHF / 19.95 euros

     

Le Randonneur

Le Randonneur de janvier 2020 vient de paraître.

Toujours aussi bien illustré de voyages à vélo, le Randonneur nous convie cette année prochaine à sa Rencontre Nationale « Entre Vercors et Chambaron » en Isère du mercredi 20 au dimanche 24 mai 2020.

Une date à retenir.

Aller sur le site du Randonneur

3600 trottinettes hors d’usage

Extinction-rebellion, le mouvement social écologiste qui revendique la désobéissance civile en s’appuyant sur des actions coups de poing non violentes a saboté le 5 décembre 3600 trottinettes électriques.

Dans un communiqué le mouvement précise le sens de son action…Contrairement à leur image de mode de déplacement « doux » et « vert », les trottinettes électriques sont une catastrophe écologique. En raison de leur production très énergivore, de leur faible durée de vie, et de la nécessité de les transporter tous les soirs pour les recharger, elles émettent en moyenne 202g de CO2 [1] par passager et par km parcouru. Cela représente 25 % d’émissions de gaz à effet de serre de plus qu’une voiture en voyageant seul, et 40 fois plus qu’un trajet collectif en tram ou métro par km parcouru [2].

Leurs batteries au lithium sont produites dans des conditions destructrices pour la nature et les êtres humains [3], et ne sont pas forcément recyclées.

source

Thann, sept cyclistes

Piètre résultat dans l’enquête cycliste 2019 de la FUB, la Fédération des Usagers de la Bicyclette.

Sept répondants à Thann à l’enquête qui vient d’être publiée. Pour figurer au rang des villes cyclables, il fallait au moins 78 réponses.

On est loin du compte.

Viennent en tête des réponses dans notre département:

  • Kingersheim
  • Brunstatt-Didenheim
  • Mulhouse

Pour accéder à l’enquête, essayer de vous connecter ici https://public.tableau.com/profile/fub4080#!/vizhome/Patricipation2019_15682251368940/Participation_1

Le serveur rame, il faudrait lui adjoindre une assistance électrique.

Dommage!

Le marquage obligatoire en 2020

Le marquage des vélos neufs ou d’occasion deviendra obligatoire lors de la vente par un professionnel en 2020. Cette identification vise à réduire les vols et assécher le recel de vélos volés. BFMTV y consacre un article

Plus de détails…

https://velomaxou.com/2019/09/27/lapic-veut-piquer-nos-velos/

Emportiérage à Fleury

Ce qui ferait peut-être deux lignes chez nous dans la Presse en fait beaucoup plus dans la Presse canadienne.

Pour éviter ce genre de mésaventure, je remonte les files en stationnement en prenant de la marge. et au besoin en sortant de la bande cyclable le long des voitures.

On ne devrait mettre des portières que sur la droite des voitures.

A lire dans Journal des Voisins d’Ahuntsic-Cartierville

Cyclotourisme, la revue

n°695 novembre 2019

La revue « Cyclotourisme » de novembre est arrivée. C’est le magazine de la fédération française de cyclotourisme.

Avec ce numéro de novembre, la fédé nous délivre un mystérieux message dans son édito en constatant que « le niveau de nos abonnés, et par voie de conséquence de nos lecteurs, ne cesse de baisser » écrit Gérard Pliquet.

En clair le magazine est « malade »…mais « la maladie pourrait être éradiquée »… « les remèdes existent »… « si leur mise en œuvre, individuelle et collective, avait été efficiente, nous n’aurions pas y revenir. » « D’autres solutions seront prochainement proposées… »

Que la revue ne se vende pas bien, ce n’est pas nouveau. Cela fait des années que le lectorat s’étiole et que le journal doit être mis sous perfusion. Déjà en 2015 « Le lectorat de la revue est réduit à l’extrême: 17000 abonnés pour 120.000 licenciés alors qu’elle coûte 150.000 euros à produire (hors expédition). Soit 11% des licenciés seulement! »… (source)

Personne n’ose tenter une explication: les cyclotouristes ne lisent pas ou ne lisent plus, accrochés qu’ils sont à leur Facebook. Ils pédalent le temps restant. Certains ne savent peut-être même pas lire si je voulais être perfide quand je vois le niveau sur les réseaux sociaux.

Pourtant, si l’on parcourt la revue, elle est plutôt bien faite.

  • Des actualités qui sortent du cadre FFCT stricto sensu
  • Un portrait sur le handbike
  • Du VTT sous forme de raid inter-bases
  • Un reportage « jeunes »
  • Un voyage organisé à St Jacques de Compostelle
  • Une promo de la Haute-Saône
  • Des images d’Eurobikes (voir ci-dessous)

Et pourtant la revue se vend mal.

J’ai ma petite idée sur la question. Puisque la revue se vend mal, pourquoi tout simplement ne pas en tirer une version numérique que tout le monde pourra consulter à sa guise sans engager des frais d’impression et d’acheminement dispendieux?

La fédé a engagé sa transition numérique en élaborant une stratégie digitale. Gageons que dans les cartons des disques durs figure aussi le projet d’une revue numérique.

Des nouvelles d’Eurobikes…

détecteur de perte de pression pour VAE équipé d’ABS!
vélo en bois Qirubike.de
Karcassbikes.com cadre en tôle d’alu ajourée
Convercycle.com, la roue arrière se replie et l’ensemble devient un vélo normal

Votre ville est-elle cyclable?

Au-delà des traditionnels bilans sur le nombre de km de pistes cyclables, la FUB (Fédération des Usagers de la Bicyclettes) a souhaité mettre en place une grande enquête comme cela se pratique dans d’autres pays européens.

Comment se sentent les cyclistes à vélo dans leur ville ? Comment cohabitent-ils avec les autres usagers ? Les 5 minutes de questions permettent d’aborder toutes les thématiques du vélo dans la ville (sécurité, cohabitation, stationnement, confort, location, services…).

Accéder à l’enquête

Le questionnaire se réalise par commune, que l’on soit cycliste régulier, occasionnel voir non cycliste (pour ces derniers les raisons de cette non pratique sont abordées). Un cycliste peut répondre sur plusieurs communes qu’il pratique à vélo, donc pas seulement celle où il réside !

Ces données n’ont de valeur statistique que si un nombre important d’usagers s’exprime, c’est pourquoi il faut à minima 50 réponse par communes. Plus il y a de données plus les résultats seront statistiquement robustes. Le nombre de réponses en direct ici avec les villes proches de la qualification.

L’enquête a pour but de dégager les points forts et les points à améliorer de chaque ville, de voir l’évolution avec la précédente enquête de 2017 (résultats ici) mais aussi de classer les villes entre elles (en fonction du nombre d’habitants) afin de créer une émulation. Ces résultats seront connus lors de la soirée de remise des prix le 7 février à Bordeaux et seront d’autant plus intéressants, que la campagne des élections municipales battra son plein !

En 2017, Thann ne figure même pas parmi les répondants alors que Cernay en a obtenu cinq. Bizarre car je me souviens avoir répondu pour Thann. Bravo au seul cyclo de Schweighouse-Thann qui a réussi à figurer dans l’enquête. Qu’on ne s’y trompe pas, ce baromètre a surtout pour but de faire parler de nous dans la presse locale. Rien ne changera du jour au lendemain.

Allez, on s’y colle, voila de quoi faire bisquer les candidats-maires de 2020.

Facultatif, le code du cycliste

Avec le Code du Cycliste qui vient de paraître, je vous le dis tout net, ça ne donne pas envie de faire du vélo. (3 euros en version numérique et après avoir ramé avec le serveur de Dalloz modèle 1.0). D’ailleurs la France n’est plus un pays de vélo depuis longtemps et elle en paie le prix aujourd’hui dans ses espaces urbains. Sortir un code du cycliste parait donc un peu contre-productif.

Puisant au tréfonds du droit écrit de circuler à vélo, l’auteur, Ludovic Duprey rassemble les textes fondateurs de nos interdits à vélo comme pour nous menacer par avance de toutes nos incartades quotidiennes. Pourtant je le sens sympa Ludovic et un peu gêné aux entournures d’avoir commis cet ouvrage. Normal, c’est son job, le droit.

On y trouve notamment de nombreux textes en relation avec l’usage d’une remorque qui rappelle bougrement le Front Populaire et les congés payés qui témoignent d’un total décalage entre le droit cycliste et la modernité. Par exemple apprendre qu’une remorque excédant 1.30m de largeur doit comporter non pas un mais deux feux de position ou qu’il est interdit de rouler de front avec une remorque. Il est vrai que deux types qui discutent à vélo en tirant une remorque sur la nationale, c’est très fréquent.

A titre anecdotique, on apprendra aussi qu’au lieu de la sonnette, on peut disposer d’un grelot! Tiens, je vais m’en procurer un pour faire le buzz en ville…ou qu’il est interdit de se faire remorquer par un véhicule (on se souvient que, môme, on aimait s’accrocher aux remorques tirées par les chevaux) ou de faire de la publicité lumineuse sur son vélo (là je ne vois pas…)

Viennent ensuite quelques nouveautés de la dernière décennie comme le « tournez à droite » aux carrefours à feux ou le fameux « double sens cyclable » que les municipalités renâclent à généraliser…ou encore le gilet haute visibilité.

Au chapitre des peines contraventionnelles, amis cyclistes méfiez-vous de la 5eme classe qui peut atteindre 3000 euros et une suspension du permis de conduire d’un an et aussi …

  • l’interdiction d’émettre des chèques et de se servir de sa carte bancaire
  • le retrait du permis de chasse!
  • la confiscation des armes dont le condamné serait propriétaire!
  • la confiscation de la chose (le vélo) qui a servi à commettre l’infraction

Dans un long avant-propos de 18 pages, Ludovic Duprey le confesse comme à regret dans sa conclusion: j’espère que les années à venir justifieront de nombreuses mises à jour. Comme on l’aimerait aussi.

C’est dommage, des pans entiers de notre droit à pouvoir rouler sont absents de ce code du cycliste comme celui du droit de rouler à VTT sous le régime forestier et comment lutter contre toutes ces interdictions et ces panneaux dissuasifs plus ou moins abracadabrantesques que génèrent les communes pour nous dissuader d’aller là où bon nous semble avec notre bécane.

Mais la France, on le sait, est orfèvre en interdictions diverses. C’est en tous cas dans l’air du temps.

Pour vous remettre de ce pensum, je vous conseille Pierre Sansot dans « Chemin aux vents » (Payot). Il ne se sent pas concerné par les associations des deux-roues avec poussettes, badges et pancartes…Il ne satisfait pas de la segmentation des flux et des espaces (à chaque véhicule sa bande, son parcours)…il préfère inventer au coup par coup (ses) règles, (ses) itinéraires, « faire l’indien ».

Dimanche, la Commanderie

VVT et route.

Dimanche, les Randonnées de la Commanderie organisées par Loisirs Rixheim Vélos.

Une valeur sûre que je vous recommande.

Tout est décrit ici

L’APIC veut piquer nos vélos

nos vélos vont-ils être obligatoirement marqués?

Carte grise en projet pour nos vélos. Le projet est dans les tuyaux.

La FUB et l’Union sport et cycles s’unissent pour fonder l’APIC dans le cadre de la campagne de lutte contre le vol de vélos. Cette nouvelle association cycliste souhaite se démarquer comme candidate à la gestion du futur Fichier National Unique des Cycles Identifiés.

A lire ici

Le Bicycode, qu’est-ce que c’est?

Carte grise vélo en projet

Le recyclage des vélos volés

Le danger de l’immatriculation

Le Randonneur dans le désert

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Le Randonneur N°71 de septembre 2019 est là.

Je ne sais pas pourquoi ce mois ci, le rédac. chef s’ingénie à nous mettre une couverture de Une avec un type qui pédale dans le désert, des chameaux d’Arabie face à lui.

Est-ce une façon de préfigurer l’Europe qui nous attend avec le réchauffement climatique?

Alors oui, je distingue au fond dans la brume matinale les contreforts des collines sous-vosgiennes, puis plus loin nos ballons ronds. Le chemin caillouteux? Oui, je l’imagine aussi. La nationale 66 Mulhouse-Epinal, une fois débarrassée de ses encombrements routiers, faute de pétrole est revenue à l’état de piste romaine puisque l’enrobé bitumineux ne sera plus qu’un souvenir.

Trêve de plaisanterie, je ne m’imagine pas visiter à vélo des contrées exotiques . Le Randonneur cherche toujours des rédacteurs pour sa rubrique « le p’tit coin méconnu ». J’en connais des p’tit coins, mais ils sont connus par la plupart d’entre-nous, alors j’évite l’exercice. Surtout que le comité de lecture ne rassure pas les postulants en « s’attardant sur chaque mot ». S’attarder sur mes mots? jamais! Maxou reste Maxou et je refuse de me plier à un censeur. Je reste chez moi avec ma prose vérolée.

Cela dit j’invite les cyclistes-cycliques, c’est à dire ceux qui prennent le temps de descendre du vélo de temps à autre à lire le Randonneur. Lire, c’est notre gymnastique du cerveau chaque matin. Ne le décevons-pas!

En plus le Randonneur vient de comprendre, un peu tard, que payer avec la monétique Paypal son abonnement à 24 euros c’est moins chiant que de faire un chèque qui reste sur le frigo pendant des semaines.

Une bonne nouvelle: les nouveaux abonnés appartiennent plus souvent à la tranche 30/39 ans.

Le site du Randonneur est là

Fin mai 2019, les randonneurs se sont retrouvés à Montpazier (Dordogne). J’y étais.

https://velomaxou.com/2019/06/03/quatre-jours-de-voyages-1-4/

https://velomaxou.com/2019/06/04/quatre-jours-de-voyages-2-4/

https://velomaxou.com/2019/06/05/quatre-jours-de-voyages-3-4/

https://velomaxou.com/2019/06/06/quatre-jours-de-voyages-4-4/

J’ai parcouru tous les itinéraires. Force est de constater qu’un certain nombre parmi nous n’ont plus la force due à l’âge de les réaliser en entier. Il conviendrait de tracer des parcours plus adaptés.

Les Nuls à vélo

Hélène Giraud et Christine Murris ont eu presque tort d’attribuer leur livre aux Nuls. Ce livre sur le vélo est une bible incontournable non seulement pour les « accédants » mais aussi pour nous qui sommes déjà cyclistes. Pas le cycliste de compétition, non, le cycliste de tous les jours, à la ville, à la campagne, en vacances.

Paru en mai 2014 « Le vélo pour les nuls » n’a rien perdu de son actualité. Si vous ne l’avez pas encore, achetez-le.

275 pages.

On peut le trouver actuellement vendu 5 euros à la librairie Lyre galerie de l’Ile Napoléon à Illzach. C’est donné!

Un Cowboy pour dompter vos ardeurs

Cette machine va t-elle trouver son public? Une courroie à la place de la chaîne, un algorithme pour remplacer les leviers de vitesse traditionnels et un smartphone pour contrôler le tout.

Uber en proie à l’indiscipline

Uber a du mal à faire garer ses Jump à Montréal

https://www.ledevoir.com/societe/transports-urbanisme/562535/plus-de-1000-avertissements-pour-les-utilisateurs-de-velos-jump

Dimanche, SlowUp à Bâle

Bâle

La nouvelle édition du SlowUp Basel-Trois Pays se structurera autour de trois parcours qui peuvent s’enchaîner pour un total de 70 km.

31 km : Bâle – Riehen – Lörrach – Weil am Rhein – Huningue – Saint-Louis – Bâle

21 km : Bâle – Birsfelden – Muttenz – Pratteln – Augst – Wyhlen – Grenzach – Bâle

18 km : Augst – Wyhlen – Herten – Rheinfelden – Kaiseraugst – Augst.

Si vous êtes tenté par le tourisme urbain à vélo, le SlowUp de Bâle est tout indiqué.

Visiter Bâle et ses frontières à l’abri du trafic routier, je peux vous garantir que c’est très agréable. En outre passer d’un pays à l’autre et rencontrer nos voisins, ce sera une découverte sous un autre angle du monde du vélo. Un vélo familial, un vélo convivial.

J’ai une place dans la voiture pour aller jusqu’à Huningue où l’on prendra le départ. (me contacter)

Il existe trois boucles, on n’est pas obligé de parcourir les trois.

On prend le départ là où on veut

Cinq euros demandé pour participation aux frais.

Prendre un sac à dos léger.

En 2015, j’avais trouvé insolite ce moyen de se déplacer en ville. En 2019, j’ai moi aussi ma trottinette
Passerelle des Trois Pays Huningue
Le SlowUp s’adresse à tous. Dans l’immensité d’une voirie déserte, quoi de mieux que de suivre la ligne blanche!

Cadres Thur-Doller, début difficile

Il n’est pas facile d’ administrer une association d’autant plus lorsqu’elle est formée de bénévoles.

Rien ne va plus au Cadres Thur-Doller dont le siège est à Ranspach (Haut-Rhin).

Moins d’un an après avoir été portée sur les fonts baptismaux (le 14 novembre 2018), l’Association de Cyclistes Associés pour le Droit de Rouler en Sécurité bat de l’aile.

Calquée sur sa grande sœur mulhousienne, Cadres Thur-Doller entend assurer la promotion du vélo, de la marche…et des transports en commun. Vaste programme!

La tâche a t-elle été trop vaste? Parmi les sept membres fondateurs, quatre ont choisi de bouder leur fonction au fil des mois.

Des défections parfois non revendiquées autrement que par l’éloignement de Ranspach, par les obligations professionnelles…et d’autres franchement assumées. Comme la mienne où j’assurais le rôle de trésorier.

La liberté existe toujours, il suffit d’en payer le prix (H. de Montherlant). Mon prix sera donc mon renoncement car il me coûte.

Après quelques mois passés à nous réunir périodiquement, il était devenu clair que la direction du mouvement peinait à trouver ses marques. J’en ai tiré les conclusions en démissionnant ce 4 septembre 2019.

Il y avait pourtant du pain sur la planche comme le recensement des points névralgiques sur les deux vallées, la rencontre des élus, des formulations d’amélioration des infrastructures, …petit à petit, hélas, la conduite du mouvement a débouché sur des crispations bureaucratiques insurmontables.

Ce n’est pas de gaité de cœur que l’on quitte un projet auquel on a cru un temps. Surtout dans un domaine où tout reste à faire, notamment au niveau des corps publics peu enclins à ménager la place méritée au vélo quotidien.

Nul n’étant irremplaçable, on ne peut que souhaiter un sursaut de Cadres Thur-Doller avec de nouvelles forces vives.

Stop à la descente de bus

Dorénavant un cycliste doit, comme tous les conducteurs de véhicule automobile, s’immobiliser à plus de 5 mètres d’un autobus scolaire dont le panneau d’arrêt obligatoire muni des deux feux rouges clignotants sont activés.

C’est au Canada qu’un arsenal de lois vise les cyclistes de façon formelle. Moi ça ne me donne pas envie d’y aller faire du vélo.

A lire ici

Thierry Crouzet s’est fracturé le col du fémur

L’accident seul à VTT peut-être dramatique (image d’illustration)

Il venait de rentrer de son périple à VTT où il avait traversé le sud de la France. Quelques jours plus tard, lors d’une banale balade autour de chez lui, il tombe et se fracture le col de fémur.

Thierry Crouzet est l’auteur de nombreux ouvrages et…cycliste. Il nous conte sa mésaventure. On lui souhaite un bon rétablissement.

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Les Cent Cols au Petit-Ballon

Une belle photo de famille au Petit-Ballon

Cette année, le Club des Cent Cols a organisé sa rencontre régionale du Grand Est au Petit-Ballon le 24 août.

Le Petit-Ballon et sa belle vallée de Munster suscitent toujours autant l’engouement des randonneurs de tous poils.

Rassemblement à Sondernach avant la montée

Satisfaction des promoteurs de la journée, Arsène et Jean-Christophe, puisqu’une quarantaine de grimpeurs centcolistes ont répondu à l’appel, dont certains venus de Suisse et d’autres de Belgique. A noter le premier col du petit Lucas, 7 ans, accompagné de son grand-père et aussi quelques nouveaux membres heureux de découvrir « l’esprit Cent Cols »

Bravo à Lucas et bienvenue aux nouveaux membres!

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Lucas a franchi son premier col

L’attrait de la montagne vosgienne ne se dément pas et il faut dire aussi que nous étions plusieurs à vouloir gravir ces deux nouveaux cols, le Petit Ballon (FR-68-1163) et le col du Strohberg (FR-68-1155) 1 km plus loin, fraîchement entrés dans le catalogue des cols français de la Confrérie.

Comment faire pour rejoindre les Cent Cols?

Maxou est membre des Cent Cols n° 6785. J’y ai adhéré un peu tard à 60 ans grâce à mes amis mulhousiens qui m’ont permis de découvrir la Confrérie et encouragé à franchir les 5 cols de plus de 2000 mètres que je n’avais pas à mon palmarès. C’est grisant de faire connaissance avec la haute montagne comme la Furka , le Nufelen , le Gothard…et le Stelvio. J’ai bien aimé aussi les 7 cols de l’Ubaye avec Jean. Aujourd’hui je totalise un peu plus de 1000 cols grâce au fait, en particulier, que je me suis mis au VTT qui permet de trouver des cols inaccessibles par la route. Le concept des Cent Cols est un formidable émulateur de randonnées en montagne.

Revenons à notre rencontre du jour…départ depuis la gare de Munster et montée par Sondernach pour les routiers et par les chemins pour les vététistes.

Le Petit Ballon se grimpe par trois itinéraires. Par Sondernach, par Wasserbourg et par Eichwald. Par Sondernach, c’est le moins difficile …et tout le monde est content! (19km/765m)

Alain toujours aussi fringant
La Suisse était représentée par Michel
Lucas et son bel Orbéa avec GPS svp!
Raymond, le repos du guerrier
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Casse-croûte sympathique en haut du Petit-Ballon après avoir fait l’aller et retour au col du Strohberg.

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Jean-Luc Ceccato a reçu son diplôme des 1000 cols des mains de Guy Harlé, secrétaire national
les chèvres du Petit-Ballon
Jean-Christophe et Arsène pendant le mot d’acceuil
L’auditoire est satisfait de la rencontre

Puis chacun a repris sa route du retour.

La descente est grisante
Dans ce sens, c’est plus facile indéniablement
Il fait chaud mais le goudron ne fond pas
Jean dans la descente de Wasserbourg. Il est venu avec son vélo depuis Osenbach, il a donc encore des kilomètres à faire…
Village d’Alsace
Avec Guy un Perrier menthe à la Cigogne de Munster

Traversée de la France sud à VTT

Thierry Crouzet nous conte sa traversée de la France sud de Balaruc-les-Bains à Biscarrosse.

C’est agréable à lire.

Thierry voyage avec un camarade. Ils évitent la route au maximum.

682 km et près de 10 000 mètres de D+

Ils pratiquent le bikepacking, c’est à dire qu’ils emportent duvet et tente et qu’ils mangent ce qu’ils trouvent en chemin. Certains jours, c’est la disette.

Si vous êtes attentif à ce genre d’expédition, vous noterez que le matériel est savamment choisi.

Lecture en ligne du périple

Article connexe… la traversée des Vosges à VTT

Pédaler une Harley!

La firme Harley va commercialiser des vélos à assistance électrique.

Vous n’avez besoin de personne en Harley-Davidson.

De quoi mettre les motards en colère!

Samedi Petit-Ballon

A plusieurs c’est plus facile

C’est samedi 24 août que les Cent Cols du Grand Est se retrouveront au Petit-Ballon.

On en profitera donc pour gravir deux nouveaux cols reconnus en 2019 par la Confrérie:

  • le col du Petit Ballon (FR-68-1163)
  • le col du Strohberg (FR-68-1155)

J’hésite encore sur le vélo à prendre, routier ou VTT.

Arrivée à Rothenbrunnen à VTT

J’ai fait cette montée à VTT en 2012 depuis Breitenbach sous un temps pluvieux. Je recommencerais volontiers avec un meilleur temps.

Conciliabules après l’effort

Départ 9h30 à la gare de Munster pour les parcours groupés…et casse-croûte en haut.

La semaine de Cognac vue coté automobilistes

La semaine fédérale de cyclotourisme de Cognac vient à peine de démarrer qu’on recueille déjà les premières impressions des autochtones sur la page Facebook de la ville de Cognac….

Édifiant!

Je ne sais pas si la Fédération a encore quelque chose à gagner de positif dans ces grandes messes qui réunissent plus de 10.000 cyclistes.

J’imagine que le modèle est à revoir.

je ne vois aucun inconvénient à changer mon trajet quand une route est bloquée et annoncée pour permettre une manifestation. Mais là, à l’heure de l’embauche c’est vraiment dangereux pour tout le monde. Il suffirait d’être vers l’Espace 3000 ou le château pour s’en rendre compte, ne serait-ce qu’à entendre ce pauvre policier municipal s’époumoner pour que les cyclos respectent les règles.
De même en ville quand ils s’arrêtent avec leurs vélos sur les trottoirs et obligent les piétons à marcher sur la chaussée

Tient en direct un qui grille le céder le passage juste devant nous obligé de piler pour ne pas le renverser mais faut surtout pas l’engueuler car il n’est pas content en plus

j’ai vu et doublé des cyclistes sur la rocade…Avec le trafic et le nombre de poids lourds qui y circulent c’est un itinéraire curieux…

C’est surtout 11 000 personnes qui ne font pas attention et qui se croient tout permis sur la route en roulant au milieu de la chaussée en prenant les rond points à l’envers, code de la route non respecter, ça passe aux feux rouges. Bref du grand n’importe quoi

C’est infernal et pénalisant pour celles et ceux qui travaillent : double temps de trajet ce matin pour aller travailler et les cyclos peuvent avoir des comportements dangereux.
Le policier municipal ce matin en face du château était le bienvenu mais bien seul et à un seul endroit

Il va finir par y avoir un mort ! Bon nombres sont irrespectueux, se croient tout permis parce qu’ a vélo… la route est à eux… j ai frôlé le drame ce matin… on klaxonne pour prévenir on se fait insulter par cette bande d’abruti en caleçon moulant ! Bravo ! Belle image que vous donnez !
Je regrette le manque d’encadrement, de balisage et de sécurité de cet événement ! Le savoir être et le savoir vivre devrai être rappelé a ces chers cyclotouristes avant qu’un drame ne vienne s’ajouter aux deux malheureuse personnes ayant perdu la vie.

Deux décès à la Semaine

C’est dans FR3 Nouvelle Aquitaine qu’on apprend que deux cyclistes participant à la semaine fédérale de cyclotourisme de Cognac sont décédés suite à des accidents cardiaques.

Voir l’info ici

D’année en année, force est de constater que le risque cardio-vasculaire s’accroit avec l’âge des participants.

Certaines images de la vidéo parlent d’elles-mêmes…on se demande si le cameraman ne l’a pas fait exprès. Il va falloir hélas se résoudre à admettre que l’âge d’or du cyclotourisme pratiqué à la FFVélo est derrière nous. Et c’est triste.

Train+vélo: oui, mais démonté

Cette fois, c’est acté: pour voyager avec votre vélo en train, il faudra le démonter et disposer d’un bagage spécialisé 120×90.

Toutes les infos sont décrites dans Slate.fr

N’étant pas client de la SNCF, je risque d’autant moins de le devenir.

Fiona Kolbinger en tête

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Elle arrivera dans la nuit à Brest.

4 000 kilomètres en totale autonomie, sans mécanicien, entre Bourgas en Bulgarie et Brest.

Pour suivre son arrivée…

Plus de détails ici

La Seine à vélo: peut mieux faire

Méfions-nous des images idylliques! Il semble que la Seine à vélo réserve de mauvaises surprises…

De la future véloroute nous n’avons d’abord vu que des zones industrielles et portuaires. Le reste fut sentiers tortueux, routes agricoles caillouteuses, côtes à 20%, descentes sur routes du même acabit, sentiers abrupts en forêt, et, heureusement, magnifiques vues, et même passage de la Seine en bac. (extraits du billet d’Isabelle et le vélo)

Le Seine à vélo, Isabelle connait. Elle peut donc en parler en étant experte des lieux. Manifestement ce n’est pas gagné. Vu de loin, on croit le paysage plat. Que nenni! On réserve aux cyclistes les itinéraires pentus, c’est bien connu…alors que pour les routes on gomme les déclivités à coups de bulldozers.

A lire dans Isabelle et le vélo