MeilleurE qualité:prix pour ce phare BHKC vendu 19 euros
La FUB, Fédération des Usagers de la Bicyclette, vient de mettre à jour son dossier de test éclairage avant et arrière en partenariat avec l’IUT GEII de Soissons.
Comme on s’en doute on trouve sur le marché du haut de gamme et des cochonneries. A nous de débusquer ce qui nous convient en fonction de nos usages.
Au-delà des traditionnels bilans sur le nombre de km de pistes cyclables,
la FUB (Fédération des Usagers de la Bicyclettes) a souhaité mettre en place
une grande enquête comme cela se pratique dans d’autres pays européens.
Comment se sentent les cyclistes à vélo dans leur ville ? Comment cohabitent-ils avec les autres usagers ? Les 5 minutes de questions permettent d’aborder toutes les thématiques du vélo dans la ville (sécurité, cohabitation, stationnement, confort, location, services…).
Le questionnaire se réalise par commune, que l’on soit cycliste régulier,
occasionnel voir non cycliste (pour ces derniers les raisons de
cette non pratique sont abordées). Un cycliste peut répondre sur plusieurs communes qu’il pratique à vélo, donc pas seulement celle où il
réside !
L’enquête a pour but de dégager les points forts et les points à améliorer de chaque ville, de voir l’évolution avec la précédente enquête de 2017 (résultats ici) mais aussi de classer les villes entre elles (en fonction du nombre d’habitants) afin de créer une émulation. Ces résultats seront connus lors de la soirée de remise des prix le 7 février à Bordeaux et seront d’autant plus intéressants, que la campagne des élections municipales battra son plein !
En 2017, Thann ne figure même pas parmi les répondants alors que Cernay en a obtenu cinq. Bizarre car je me souviens avoir répondu pour Thann. Bravo au seul cyclo de Schweighouse-Thann qui a réussi à figurer dans l’enquête.Qu’on ne s’y trompe pas, ce baromètre a surtout pour but de faire parler de nous dans la presse locale. Rien ne changera du jour au lendemain.
Allez, on s’y colle, voila de quoi faire bisquer les candidats-maires de 2020.
Carte grise en projet pour nos vélos. Le projet est dans les tuyaux.
La FUB et l’Union sport et cycles s’unissent pour fonder l’APIC dans le cadre de la campagne de lutte contre le vol de vélos. Cette nouvelle association cycliste souhaite se démarquer comme candidate à la gestion du futur Fichier National Unique des Cycles Identifiés.
Tout le monde n’a pas la chance de savoir faire du vélo. Les vélo-écoles sous l’égide de la FUB sont là pour apprendre les rudiments depuis l’exercice de l’équilibre sur le deux-roues jusqu’à l’insertion dans le domaine public.
Retour de bâton cruel pour la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB).
Elle a cru bon vendre son Bicycode qui peine à convaincre au Ministère des Transports.
Aussi sec, Elisabeth Borne, la ministre, a inscrit l’obligation de pucer les vélos neufs dans sa loi d’orientation des mobilités (LOM)…avec l’idée d’y graver aussi les vélos anciens dans les deux ans.
Le Bicycode, c’est un gravage de votre bécane qui doit permettre (en principe) d’endiguer les vols de vélos. Surtout les vélos neufs qui freinent parait-il le développement du vélo en ville. A Strasbourg, on dit qu’un vélo neuf est volé dans les huit jours. Ce qui fait les choux gras d’un second marché lucratif sur les sites de vente internet (lire mon billet du 24 juillet 2014 à ce sujet )
Le problème c’est qu’aucune étude sérieuse ne vient démontrer l’efficacité du dispositif.
Pas de chance pour la FUB, les médias y ont vu une occasion de montrer du doigt une taxe de plus assimilable à une carte grise dont on s’acquitterait en achetant un vélo.
Aussitôt levée de boucliers chez les cyclistes (si,si, j’en connais qui « râlent ») et aussi ceux qui considèrent plus largement que l’overdose de taxes est atteinte à tous les niveaux avec la politique Macron.
Il est vrai que ce dispositif à fait tilt en particulier chez les automobilistes pour qui les prix de l’essence et les péages urbains envisagés ont clairement montré la volonté taxatrice du gouvernement tous azimuts.
En effet qui n’a pas un vélo au fond de son garage!
Une loi d’avril 1893 instaura une taxe annuelle sur les vélos en France ! Mise en application à compter du 1er juin 1893, cette loi fixait à 10 francs français la redevance pour la possession d’un « vélocipède ou appareil analogue ». (source)
Imaginons 25 millions de vélos à 10 euros la taxe vélo, ça fait tout de même 250 millions dans la poche de l’État impécunieux.
Du coté des cyclistes, ce qui fait le plus jaser, c’est qu’on puisse se retrouver dans un fichier national dont on ne sait pas à quoi il pourrait servir plus tard…
Dans le passé, il faut s’en souvenir, on a déjà taxé les vélos, mais aussi la possession de chiens et…de pianos au domicile.
Les pianos aussi…
La France tire sur les pianistes. L’impôt sur le piano a été promulgué en 1893 en France. Plusieurs raisons à cela : qui pouvait s’offrir un piano était plus à l’aise que la moyenne, les fraudeurs faciles à détecter… et l’instrument était assez répandu. A 10 francs par piano, l’impôt a rapporté 5 millions en 1893. Cet impôt sur le luxe a disparu au début du XXe siècle. (source)
Depuis qu’elle s’est mise en tête d’embrasser toutes les pratiques cyclistes, la voilà qui se targue de nous initier au vélo en ville.
Comme si on avait attendu après elle!
Dans un article paru dans Cyclo-Tourisme Magazine le 1er juin, la FFV n’y va pas quatre chemins en nous invitant à l’aventure du vélo en ville…lire l’article
Vous souhaitez tenter le vélo en ville ?
Le titre a lui seul est lourd de sous-entendu pour une fédé dont l’essentiel de ses membres prennent la voiture pour acheter leur pain au bout de la rue.
Tenter de prendre son vélo en ville serait donc hautement anxiogène pour la FFV.
Normal, avec des pneus extra-fins comme les petits pois et gonflés à bloc, des selles en pointe de diamant, l’absence de tout équipement réglementaire comme la sonnette, les dispositifs réfléchissants, la lumière, difficile de se promener dans les centres historiques pavés de nos provinces françaises.
La petite musique des pouvoirs publics en faveur du vélo en ville serait-elle parvenue jusqu’aux oreilles des administrateurs de la FFV?
Subitement la FFV semble découvrir qu’il y a des cyclistes qui risquent chaque jour leur vie en ville alors elle tente de s’investir dans un domaine dont elle ignore tout.
Rien n’est obligatoire en matière de matériel dit l’article!…
Coucou, on est là
La preuve, on nous recommande même d’installer une sonnette…alors qu’elle est obligatoire.
Je tombe des nues. C’est sidérant de niaiserie d’écrire des choses aussi fausses dans un magazine spécialisé et fédéral.
Quand on est aussi peu au fait de la réglementation, on s’abstient de s’aventurer dans des terrains inconnus.
La FFV manque t-elle à ce point de rédacteurs avertis au point de confier sa prose à un dénommé Philippe Palleron d’AG2R La Mondiale?
Que la FFV reste dans son domaine, celui des cyclos du dimanche.
D’autres savent faire beaucoup mieux qu’elle ailleurs, notamment la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), la FUB que la FFV semble superbement ignorer.
Y’a comme un défaut chez les représentants du monde cycliste: tous sont impuissants à nous sortir du mépris des corps publics.
Si l’avenir du vélo est mal engagé en France, c’est aussi à cause de sa bureaucratie interne.
Le saviez-vous: parmi toutes les organisations cyclistes, certaines agissent dans l’ombre sans que le plus grand nombre imagine jusqu’à leur existence.
« Vous incitez concrètement à la manifestation sur la voie publique en cette période critique » écrit-il dans une lettre adressée à la FUB qui propose une action « tous à vélo » pour soulager les encombrements parisiens pendant la COP21.
La Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) nous prévient…
Une nouvelle étude à charge contre les cyclistes doit être publiée ce lundi 24/11/2014 sur la base de seulement 1041 cyclistes interrogés dans une dizaine de villes françaises, et qui généralise ses conclusions à l’ensemble de la communauté cycliste. «Plus de 60% des cyclistes en ville se mettraient eux mêmes en danger en ne mettant pas de casque, et 52% en ne portant pas de gilet fluo».
Du 3 au 9 novembre la FUB mènera sa campagne sur l’éclairage à vélo (voir le dossier).
Ce n’est pas faute d’en parler, mais je constate que nos efforts pour se signaler à vélo la nuit semble laisser indifférents beaucoup d’entre-nous. Continuer à lire … « Cyclistes, brillez! »
Les pins Douglas de la forêt vosgienne servent à produire des lamellés (vélomaxou)
Une loi en faveur du vélo…
La loi Laure, loi sur l ’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Énergie, du premier janvier 1997 est souvent citée par les défenseurs du vélo en ville à l’appui de la lutte contre la pollution et les odeurs.
C’est l’occasion pour les médias généralistes de se tourner vers le phénomène vélo en France.
Un phénomène fortement impacté par l’image du Tour de France qui en contrepartie génère des idées négatives dès lors qu’on sort du cadre sportif
« le vélo a un côté un peu ringard et [que] c’est quand même vachement fatigant de pédaler » (Nathalie Granes de la direction des transports d’Ile-de-France.)
Il est vrai qu’à force de militer pour les transports doux en ville, certains commencent à se demander si le message est le bon alors que chacun de nous le sait: le vélo en ville, c’est la loi de la jungle et du plus fort.
Idée farce d’un participant au congrès pour inciter au vélo, instaurer « la limitation du taux d’alcoolémie différente pour les cyclistes et les automobilistes ».
Ils ne picolent pas un peu les congressistes de la FUB?