
Je lis petit.
Pas à pas.
Page après page.
J’en ai terminé avec mes Récits fantastiques de Théophile.
La Jettatura. Le dernier récit est pénible.
Le type est accusé de jeter de mauvais sorts rien qu’avec son regard.
Les mauvais regards, c’est redevenu à la mode dans les gazettes de faits-divers.
Bref, il en a marre, il se crève les yeux.

Pour s’endormir le soir, c’est pas facile.
Mais enfin, j’ai été ébloui par le beau vocabulaire ciselé de Théophile Gautier.
Maintenant je passe à un polar local avec de mauvais esprits.
C’est Renée Hallez rencontrée à Cultura qui assure sa promotion elle-même.
Je vais je l’espère moins ramer qu’avec Théophile.
C’est écrit gros!
Pour le soir, quand les paupières tombent, les gros caractères me conviennent.
Donc, c’est quatre sales gosses de la bourgeoisie qui reviennent à Hirtzbach chez leur grand-mère.
Des HaxWildtribb qui disent ici.
C’est bien ce polar parce que j’apprends l’Alsaco en même temps.
Hax, la sorcière qui ressemble à Hexenplatz que j’ai traversé là-haut du coté du Blauen avec mon VTT
Wild, sauvage comme les bêtes
tribb, je présume tribu.
Les sauvageons commencent à investir De Dorfascht (la fête du village) et à y mettre de l’ambiance.
Ça commence plutôt bien…
« Jusqu’à ce qu’il n’en reste rien » de Renée Hallez, éd. du Bastberg ISBN 9782358590907
































Un beau programme pour nos amis centcolistes suisses.






















J’écoute la TV d’une oreille distraite.












































